Littérature

Titre Date uid de l'auteur
Pour adultes seulement

Philip Le Roy est quand même un petit marrant. Il voudrait nous faire croire qu’une jeune fille au paire de 18 ans à peine, qui ne sait pas aligner deux mots d’anglais en étant hébergée aux USA, va sauver une petite fille de sept ans du massacre de sa famille par des tueurs. Il voudrait nous faire croire que ces deux demoiselles vont fuir en voiture à travers les Etats-Unis. Qu’elles vont survivre à des balles de tous calibres, à des roquettes, à des tueurs acharnés, à des poursuites en bagnoles sans fin, à des explosions en tous genres.

LE ROY Philip
08/06/2007 14
BRIN David 01

Vous qui avez abordé de nombreux problèmes dans vos romans précédents (la vie extraterrestre dans « Infinity’s Shore » ; la couche d’ozone dans « Earth » ; le nucléaire dans « The Postman » ; les voyages dans l’espace dans « Heaven’s Reach » ; le clonage dans « Glory Season »), qu’avez-vous voulu dénoncer dans « Kiln People » ?

BRIN David
06/06/2007 14
Peuple d'argile (Le)

 

BRIN David, MORVAN Jean-David
06/06/2007 14
FETJAINE Jean-Louis 01

Quel a été votre parcours littéraire ? Comment êtes-vous entré en contact avec le monde de l’édition ? J’ai été journaliste, puis traducteur, rewriter et “nègre” aux Presses de la Cité. En 91, j’y ai créé la collection “Hors collection”, qui est devenue quelques années plus tard une maison d’édition à part entière. Plus tard, on m’a confié le Pré aux Clercs. Pourquoi vous être ensuite tourné vers la fantasy ? Votre diplôme en histoire médiévale vous y a-t-il prédisposé ?

FETJAINE Jean-Louis
04/06/2007 14
Pas de Merlin (Le)

Né en 1957, Jean-Louis Fetjaine a commencé sa carrière littéraire pour le biais de textes « humoristiques », Le Guide du jeune père par exemple. C’est en 1998 qu’il commence sa carrière dans le domaine de la fantasy avec sa célèbre trilogie des Elfes, d’ailleurs saluée par un Prix Ozone en 2000. En 2003 paraissent Le Pas de Merlin qui a remporté le Prix du meilleur roman de fantasy – Imaginales 2003 et en 2004, sa suite, Brocéliande.

FETJAINE Jean-Louis
04/06/2007 14
Regard des furies (Le)

Les humains ont essaimé la galaxie, par l’intermédiaire d’une race extraterrestre surnommée les Tritons, jaloux de leur monopole total du voyage interstellaire au point de détruire systématiquement tout vaisseau humain tentant d’en percer le secret. On dit même qu’ils auraient été jusqu’à éradiquer une planète entière.

NEGRETE Javier
02/06/2007 10
Mécanique du Talion (La)

C’est l’histoire d’un mec… d’un flic plus exactement, du genre à fermer les yeux sur les méfaits dont il est témoin pourvu qu’il touche les honoraires assurant sa discrétion, du genre à tremper dans tous les trafics lucratifs de Larsande, planète dont il est – fort opportunément – le chef de la sécurité. Du genre à s’être, au fil du temps, constitué un confortable pactole de nature à améliorer sa maigre retraite de fonctionnaire. Du genre enfin à avoir trempé les pattes dans un pot de miel qui, cette fois, lui était vraiment interdit.

GENEFORT Laurent
31/05/2007 10
Magicien du 5ème règne (Le)

Roman initiatique, roman mystique, roman alchimique : « Le Magicien du 5ème Règne » nous entraîne sur les pas de Solem, jeune architecte parisien lancé dans une quête qui le mènera à la découverte de lui-même.

MAEL Anna
29/05/2007 2
Retour du professeur de danse (Le)

Le jeune policier Stefan Lindman est sous le choc : il vient d’apprendre qu’il a un cancer de la langue et que son ancien collègue Herbert Molin, retiré dans les forêts de la Suède, a été torturé à mort. Pour tromper son angoisse, il part à l’ autre bout de ce froid pays, au début d’un hiver qui s’annonce rude, enquêter non officiellement sur le meurtre de Molin. Que signifient les traces sanglantes sur le parquet, comme si le tueur avait dansé un tango avec le corps de sa victime ? Les ombres d’un passé très noir se réveillent. Elles ont frappé, et vont frapper encore.

MANKELL Henning
27/05/2007 17
Monde extraordinaire des contes de fées (Le)

Il était une fois un univers féerique… Un monde où les bottes de sept lieues étaient moins rapides que d’étranges carrioles que l’on nomme voitures. Où les miroirs magiques avaient moins de puissance que de petites boîtes lumineuses appelées téléviseurs. Où l’homme, plutôt que de décrocher la lune, était gentiment parti gambader à sa surface. Ce monde, c’est le notre - et l’on a peut-être trop souvent tendance à le déclarer désenchanté. Ce n’est pas parce que nous nous sommes habitués à de tels miracles qu’ils ne relèvent plus pour autant du domaine du merveilleux.

GUGENHEIM-WOLFF Anne
25/05/2007 2

Pages