Griffe et le sang (La)

Mina est une jeune Tzigane de 16 ans. Son père étant décédé dans une bagarre, elle fuit avec sa mère, à bord de leur roulotte tirée par un vieux cheval fatigué, direction la Transylvanie (actuelle Roumanie).

Là, installées au bord d’un ruisseau, des mésaventures les attendent malgré l’aide d’un homme vêtu de noir et les rêves de Mina peuplés par un chevalier écarlate qui serait Vlad Dracul, le célèbre conte qui a inspiré le personnage de Dracula.

Même si je l’ai lu vite (24h), même s’il est agréable, je reste sur ma faim. En fait, après « La fille-sortilège » qui était très novateur, « La griffe et le sang » est un bon récit mais sans aucune originalité. Ni dans le sujet (les loups-garous, les vampires), ni dans l’aventure de ces deux femmes ni dans le traitement d’informations novatrices. Toutes les situations sont connues, limite on anticipe le récit car il est assez formaté.

Pas mauvais certes mais pas inoubliable.

La griffe et le sang par François Larzem, illustré par Benjamin Carré, collection Pandore, le Pré Aux Clercs