Soumis par Véronique De Laet le jeu, 18/07/2013 - 07:09
Lena est toujours dans la Nature avec les renégats, ceux qui n’ont pas été guéri de cette maladie qu’est l’amour. Enfuie avec Julian, elle a rejoint le groupe et circule en attendant l’attaque générale. Mais si elle se rapproche de Julian, Alex est lui aussi toujours vivant et se comporte avec elle comme s’il ne l’aimait plus…
Puis Lena va retrouver celle qu’elle pensait morte ; sa mère. Sa mère qui est à la tête de la révolte.
C’est le dernier tome de la trilogie, et c’est bien ainsi car on a fait le tour quand on ferme le roman.
Soumis par Véronique De Laet le jeu, 29/11/2012 - 08:02
Toujours mi-démone, mi-humaine, Dante nous entraine dans la suite de son combat. A la fois contre son cher Japhrimel qui a pris des engagements pour elle qui ne l’arrangent pas, contre Lucifer et contre les assassins de son amie nécromancienne et policière, Gabe.
Soumis par Véronique De Laet le dim, 08/07/2012 - 10:34
« Dans ce monde l’amour est interdit »
Distropie (encore une, c’est à la mode) d’un monde qui refuse la maladie d’amour, le amor deliria nervosa, qui impose une opération aux jeunes à leur 18eme anniversaire pour les lobotomiser et les rendre sans sentiment, sans passion.
L’héroïne a juste quelques mois de moins que les 18 ans fatidiques et elle se réjouit de cette opération-soulagement, car cette maladie l’a laissée orpheline, sa mère s’étant suicidée après 4 opérations ratées, animée par un amour fou pour son mari disparu.
Soumis par Véronique De Laet le ven, 23/12/2011 - 16:01
Pour faire les choses simplement (hum hum), après le deux puis le un, ben j’ai enchaîné sur le troisième volume… Cherchez la logique !
« A la droite du Diable » reprend la trame du premier : le Diable force Dante et Japhrimel à reprendre un travail pour lui et pour 7 années humaines.
Dante va vivre les événements comme de véritables trahisons, sa foi en Japh, sa confiance dans les dires et les gens vont se trouver très très mal malmenées. Pour arriver à elle-même se faire du diable un ennemi implacable.
Soumis par Véronique De Laet le lun, 10/10/2011 - 16:51