Insigne du Chancelier (L')

Auteur / Scénariste: 
Traducteur: 


À force de courage et de ténacité, une fine lame évolue en place de protégé du roi. Cette fine lame, ce messire Durandal, (rien, mais alors rien à voir avec Roland de Ronceveau, qui jouait du cor dans les Pyrénées) se verra confier la lourde tâche d’aller quêter afin de retrouver la pierre philosophale. Cette aventure fera de lui et de ses compagnons de nouveaux hommes.

Ah ! Me revoilà réconcilié avec le roman de fantasy. Depuis un long moment, je n’avais pas lu un roman aussi plaisant et aussi captivant. J’ai eu du mal à attaquer ce livre, car, je l’admets, j’appréhendais la fantasy. Une fois entamé et bien pris au creux de l’aventure, je n’ai plus quitté le livre jusqu’au final. Je n’avais rien lu de tel en fantasy depuis Conan le barbare. Un soupçon de magie dans un monde exotique. Je puis affirmer que l’auteur à réaliser un tour de force, car il a su me plonger dans cette quête et je n’ai relevé la tête qu’une fois la dernière page achevée.

Pas une once d’ennui. Pas une once de ressemblance avec un autre roman. Décidément, cela aura été la surprise totale pour moi.

Enfin, je respire, il était temps.

Dave Duncan, L’Insigne du Chancelier, Traduction : Cédric Perdereau, 512 p., Livre de Poche Fantasy n° 27005

Type: