Critiques

La vengeance dans la peau La nuit lui appartient

Isabella Swan, 19 ans, dite Bella, est toujours autant amoureuse de son vampire d’Edward. Mais les choses se corsent. D’abord, Bella veut à tout prix devenir vampire elle aussi parce que les années qui passent la marquent (et Edward a 17 ans pour toujours !) Ensuite, Victoria, sa pire ennemie vampire, continue de la traquer et sous la forme humaine, Belle ne peut pas la vaincre Pour finir, le cœur de Bella est partagé, entre Edward et Jacob, dit Jake, son meilleur ami, qui s’est révélé amoureux et qui est loin, très loin de la laisser insensible.

A lui seul, il a cramé le seul arbre d’une planète, il a bu du pipi extra-terrestre, il s’est mangé un fruit saturnien de 200 kg, il a affronté une comète en duel. Mais ce n’est pas tout. Lors de ses vols spatiaux, il s’est confronté aux Goregs, aux Spoks, aux Ploc ploc ploc, aux guimauves sauvages. C’est… C’est… l’Astronaute !!!

Les éditions Flammarion lancent une nouvelle collection jeunesse, entièrement consacrée à l’uchronie. Il est un fait que ce ’sous-genre’ de la SF connaît un succès grandissant, et il était dès lors excellent de le faire connaître aux futurs adultes. Comme l’écrit le directeur de collection Alain Grousset : « L’uchronie rapprochera les amateurs de l’histoire passée de ceux de l’histoire future ». Pour l’inaugurer, il a fait appel à Pierre Bordage, dont tous les amateurs connaissent l’art parfait de la narration. Il le retrouve à nouveau, pour notre plus grand plaisir.

Vincent vit heureux avec son amie Béa. Ils s’aiment, vont à la plage avec leurs amis et quelquefois, ils s’accordent un petit dîner aux chandelles. Je dis « quelquefois », car Vincent passe énormément de temps à son boulot. Un boulot secret dont Béa ne sait rien. Pour elle, il est manager dans une grande entreprise. Mais en réalité, Vincent un Hacker professionnel.

Jamais sans mon fils L’enlèvement

Avant tout connu pour sa série de romans de « La Forêt des Mythagos » et son travail au sein de la « fantasy mythique », Robert Holdstock s’est offert en 1981 un crochet par le domaine de la science-fiction pure avec « Le Souffle du Temps ». Cependant, l’auteur a là aussi adopté une démarche résolument éloignée de la « hard science » défendue par nombre de ses compères pour flirter avec un ton rappelant par moments celui de la « fantasy ».

Nous retrouvons Téméraire, dragon de race Céleste au service des Aerial Corps de Sa Majesté d’Angleterre. En pleine bataille conte les troupes napoléoniennes, Téméraire revient au pays sous les bombes, très troublé de ne pas avoir reçu de l’aide des autres dragons au sol. Et là il découvre qu’une terrible épidémie décime les troupeaux : un genre de vilaine grippe persistante affecte les dragons et les mène inexorablement à la mort !

  Fish est prisonnier de Markovic. Il tente de fuir le plus loin possible dans l’Histoire, mais s’il parvient à se téléporter à la Préhistoire, il est obligé de revenir en 2088 dans le laboratoire de Markovic. Pourquoi ? Parce que Markovic a trouvé le moyen de bloquer son flux quantique. Mais c’est sans compter Lou et son courage.