Critiques

Vague (La)

Ce recueil contient cinq nouvelles ou, plus exactement, quatre nouvelles et un début de roman. On passe de la découverte d’un curieux artefacts voyageant dans l’espace et les conséquences de son étude, à une dystopie dans un monde post réchauffement climatique où les populations de Pacifique ont prospéré sur l’Océan et dans l’espace, puis une uchronie dans laquelle Colomb aurait trouvé un empire maya encore existant et capable de se défendre et d’attaquer l’Europe pour finir avec une curieuse fantasy dans un monde peu explicité et une vision inattendue du jour où la mort sera vaincue.

Type: 

Pressentiments

1911, un jeune couple connaît des difficultés mais à cette époque, on ne parle pas de sa sexualité, d’autant plus si on est mariée au révérend Canning. 2011, on découvre un corps extrêmement bien conservé. Un poilu de la guerre 1914-1918 qui a gardé contre lui une série de lettres signées H. Canning. 1911, Cat est engagée comme bonne à la sortie de prison. Ce n’est pas une meurtrière, juste une militante pour le droit de vote des femmes qui s’est retrouvée en prison pour trouble de l’ordre public. Elle part travailler chez un révérend et sa jeune épouse.

Type: 

Panopticon

Il s’agit d’une aventure sans doute imaginaire de Jeremy Bentham, philosophe anglais du 18e et du 19e siècle. Une aventure qui aurait néanmoins pu se produire et rester ignorée, si on admet les procédés parascientifiques invoqués.

Type: 

Delirium T3

Lena est toujours dans la Nature avec les renégats, ceux qui n’ont pas été guéri de cette maladie qu’est l’amour. Enfuie avec Julian, elle a rejoint le groupe et circule en attendant l’attaque générale. Mais si elle se rapproche de Julian, Alex est lui aussi toujours vivant et se comporte avec elle comme s’il ne l’aimait plus… Puis Lena va retrouver celle qu’elle pensait morte ; sa mère. Sa mère qui est à la tête de la révolte. C’est le dernier tome de la trilogie, et c’est bien ainsi car on a fait le tour quand on ferme le roman.

Type: 

Leviathan 99

Ce recueil de nouvelles plus ou moins anciennes et de souvenirs plus ou moins retravaillés n’apportera aucun élément majeur à l’œuvre de Bradbury mais il permet de retrouver toute la poésie et l’ambiance des œuvres majeures. On le lit avec plaisir et nostalgie comme une évocation des œuvres qu’on n’a pas envie de relire trop souvent. Mais qui sont néanmoins évoquées. Un livre pour les complétistes, pas pour les nouveaux lecteurs de Bradbury, à mon avis. Leviathan 99, de Ray Bradbury, traduction de Florence Dolisi, couverture d’Alain Brion, ISBN 978-2-07-045053-4, Folio

Type: 

Pardons de Locronan (Les)

1911. Village de Locronan, Bretagne, c’est comme tous les 6 ans, le pèlerinage de la Grande Troménie, celui qui rend hommage à Saint Ronan, célèbre dans tout le Finistère. Ronan, c’est aussi l’aubergiste. Sa femme, la Mahé, est tisseuse comme leur fille, Linette, 18 ans tout frais et des galants pour la courtiser. 3 fils aussi renforcent la famille.

Type: 

IF 837

Le KOALA (comité d’attribution légale d’humanité aux andromorphes) répertorie et protège les espèces humanoïdes au fur et à mesure de leur découverte. Mais, sur la planète IF 837, l’enquête sur les humanoïdes locaux va tourner au drame. Parce que les « andromorphes » de cette planète subissent avec résignation la prédation d’une espèce locale de lémuriens mangeurs d’hommes (ou plutôt, pour l’instant, d’andromorphes). Lesquels vont attaquer l’équipe scientifique venue étudier les indigènes.

Type: 

Horloge du temps perdu (L')

S’adressant aux jeunes qui doivent connaître la trilogie « Retour vers le futur », ce roman en reprend, à l’envers, le thème. Puisque Théo, envoyé dans le passé (et plus précisément en 1984, année de sortie du premier film de la trilogie) dans le corps de son père, encore adolescent, n’a pas pour but de veiller à ce que le passé ne change pas (ou, comme le héros dans le deuxième volet, de restaurer le présent après qu’il ait été transformé), mais au contraire de le modifier en empêchant la mort d’une amie de son père.

Type: 

Françatome

Commençons par polémiquer (pour le plaisir) sur la branche de la SF concernée : à mes yeux, ce roman est une histoire d’univers « parallèles » (ou perpendiculaires ?) et non une « pure » uchronie. Pourquoi ? Parce qu’on y présente un monde différent, un monde de rêve qui va tourner au cauchemar, sans vraiment discuter le (ou les) point(s) de divergence qui ont amené à cette situation et comment les différences sur lesquelles le roman insiste au fur et à mesure se sont développées. Le sujet du livre est le monde décrit, pas sa relation au nôtre.

Type: 

Hordes

Audric est le fléau du démon, capitaine de la horde du Serpent. Sa capacité à manier une épée gigantesque que nul autre ne peut soulever lui vaut d’être soupçonné d’avoir passé un pacte démoniaque. Pour le compte du duc Coresh, il doit conduire ses hommes en pays ennemi et enlever une augure légendaire capable de prédire et de transformer l’avenir. Mais en accomplissant sa mission, ne risque-t-il pas de bouleverser l’ordre établi ?

Type: 

Pages

S'abonner à RSS - Critiques