Littérature

Cette lecture n’a pas commencé comme les autres. Au départ, mon rôle était de corriger l’ensemble et de préparer une mise en page… Un soir d’été, j’ai ouvert le fichier, juste pour voir le nombre de pages etc. et j’ai quitté l’ordi 3h plus tard, 60 pages lues, relues et corrigées, la tête occupée par un dirigeable allemand du XXe siècle. Pages relues parce que je me suis laissé avaler par le récit, j’ai perdu mon œil de faucon grammatical et j’ai suivi Kurt et sa quête d’identité.  

Blake est revenu de fouilles archéologiques avec de mauvais souvenirs. Lui, l’ex de membres des forces spéciales, est tombé dans un guet-apens ! Impossible ! Et pourtant. Une terrible blessure et une bien inquiétante guérison, voilà son passif. Le temps passe, plus il se dote d’étranges pouvoirs. Cette plaque d’identification militaire autour du cou en serait la cause. Certes oui ! Un vieil homme va l’approcher et devenir son mentor.

Blake est un ancien militaire engagé sur une opération extérieure, dans le désert afghan. Il roule avec son compagnon lorsque des coups de feu retentissent. Leur véhicule est pris dans une embuscade et Blake, blessé, s’enfuit au hasard. Il découvre des ruines et met la main sur une ancienne dague avant de s’effondrer. Il se réveille dans un hôpital, défiguré. De retour au pays, Blake comprend que sa vie ne sera plus jamais la même et qu’il est différent, ce qui met sa vie en danger.

Au départ, La vraie vie d’Adeline Dieudonné n’était pas dans ma liste de lecture. Et le fait qu’on en parle partout et que son livre se retrouvait dans toutes les librairies m’inquiétait un peu. Avec la rentrée littéraire de septembre, j’ai donc décidé de ne pas me focaliser sur les sorties trop médiatisées. Trois mois plus tard, une interview d’Adeline Dieudonné faite par Hadja Lahbib sur la RTBF m’a donné envie d’en savoir plus sur cette auteure dont le visage ne m’était pas totalement inconnu.