Après un certain nombre d’activités variées, entre autres guitariste de rock, libraire, rédacteur pour diverses publications, traducteur et critique, Ramiro Sanchiz a commencé à publier depuis 2009 un certain nombre de nouvelles et romans qui, tous, forment les différentes vies, dans des lignes temporelles différentes, d’un personnage qui, d’une certaine façon, est un avatar de l’auteur, Federico Stahl.
1943. Les Allemands occupent Rome. Italo, Cosimo, Vanda et Riccardo ont dix ans et bravent le couvre-feu pour aller jouer dans une grande cour d'immeuble. Mais un soir, Riccardo ne vient pas. Ni le lendemain, ni le surlendemain. Ce 16 octobre, le ghetto de Rome a été raflé et tous ses habitants, dont plus de cinquante enfants, ont été envoyés dans les camps de la mort. Nos petits mousquetaires, qui étaient quatre et ne sont désormais plus que trois, ne peuvent même pas imaginer cette réalité-là. Pour eux, il y a erreur.
Ce policier (ou presque parce que c’est Interpol à la manœuvre) se base en partie sur un fait véridique : en 2022, en Écosse, sous une couche de carton et un autre portrait, s’est révélé un autoportrait du peintre (https://www.barnebys.fr/blog/un-autoportrait-revele-dans-un-tableau-de-vincent-van-gogh). L’histoire suit 3 lignes du temps qu’on retrouve dans le résumé :