Icônes T1

Tout a changé depuis le jour du Jour. Le jour où les fenêtres ont explosé. Le jour où l’électricité a été coupée. Le jour où la famille de Doloria a été frappée par la mort. Le jour où la Terre a perdu une guerre dont elle ignorait qu’elle était en cours. Depuis, Dol vit une existence simple à la campagne, à l’abri des Icônes et de leur terrifiant pouvoir.

Mais elle ne pourra pas se cacher éternellement de la vérité. Elle est différente. Elle a survécu. Pourquoi ? Dol et son ami de toujours, Ro, sont arrêtés et emmenés à l’Ambassade, au large de la cité tentaculaire autrefois appelée Cité des Anges. Alors que Ro et sa compagne de détention, Tima, se débattent contre leurs ravisseurs, Dol se retrouve irrésistiblement attirée par Lucas, le fils de l’Ambassadrice. Les quatre jeunes gens ignorent encore le lien qui les unit réellement. Car leur rencontre n’a rien d’une coïncidence. C’est une conspiration. Sous le règne des Icônes, Dol, Ro, Tima et Lucas découvriront que leurs émotions incontrôlables, qu’ils ont toujours considérées comme leur plus grande faiblesse, pourraient bien constituer leur plus grande force.

Oui ce n’est pas ma bonne période. Voilà encore un résumé en italiques, donc non personnel, donc un livre en demi-teinte.

Pourtant on attendait beaucoup de l’auteur de « 16 lunes » et c’est une histoire avec des idées intéressantes mais qui forment au final un fouillis tel qu’on reste perplexe sur le sens. Trop de mystères cumulés tuent LE mystère central
.
Personnellement, je n’ai ni compris, ni apprécié les diverses fins de chapitres avec des « documents secrets ». Déjà pourquoi rayer en noir des infos alors qu’elles sont transmises entre deux « personnes » (vous comprendrez pourquoi je mets des guillemets). Si on informe une personne, ce n’est pas pour cacher une partie de ce qu’on transmet.
Les secrets des personnages font qu’on n’accroche pas plus que cela à leurs personnalités.

Bref, on verra pour le tome deux, s’il ne dégrossit pas la jungle d’infos brouillonnes du tome un, je risque de ne pas avoir de boussole pour retrouver la voie/voix de l’auteur.

Icônes T1 par Margaret Stohl, traduit par Luc Rigoureau, Black Moon, Hachette