En route pour 2018 avec Freddy Lewis, critique Phénix

L’année 2017 a été pour moi une époque charnière avec un changement total concernant ma vie professionnelle. Je suis passé invalide en début d’année et depuis, malgré de très gros coup de fatigue et quelques kilos en plus, je me sens un peu mieux.

La situation dans le monde est ce qu’elle a toujours été. On arrête de se foutre sur la gueule d’un côté pour se la remettre de l’autre.

Je m’intéresse très peu aux informations pour différentes raisons : toujours les mêmes, toujours pessimistes et toujours nous parler de politiciens à un point tel que l’on dirait des stars.

Les guerres de religion et toute la clique de « je crois en lui et pas en lui », je m’en contre-tape. Je ne crois en rien. Je n’ai pas de pays, pas de drapeau, pas de frontières, pas de parti politique ni de religion.

Je ne suis qu’un intérim de l’espèce humaine.

Pour 2018, je ne vais pas espérer la paix, les marchands d’armes se font des monceaux d’argent à créer des guerres où que ce soit.

J’espère pouvoir écrire plus et contenter le chef. J’ai les idées, j’ai tout ce qu’il faut, excepté le courage de les mettre en boîte.

J’ai trois personnes à qui je peux parler et qui n’ont envers moi aucune animosité ni arrière-pensée.

Mon épouse, bien entendu. Sans elle, je serais mort à l’heure actuelle.

Et deux autres personnes qui sans savoir m’ont bien aidé. Il s’agit de Marc Bailly et de Véronique De Laet.

À vous, je vous souhaite une très bonne année. Surtout, ayez une passion, car sans cela, votre vie n’aura aucun sens. Je ne parle pas du travail qui ne peut être une passion, car tout ou tard vous serez à la retraite. Sans passe-temps, c’est long.

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