2013-2014 selon Freddy François


Bonjour à tous,

Pour cette nouvelle année, je ne vous citerai pas les éternelles « bonne année bonne santé », etc.

On verra bien.

Peut-être dans deux minutes, je serais mort.

Alors à quoi bon.

Ce qui m’a plu cette année ?

En littérature, je n’ai pas beaucoup lu et c’est de ma faute.

Je suis un peu fainéant ces temps-ci et beaucoup de mes amis comprendront.

J’ai relu avec plaisir Infection. Son côté déjanté et décalé m’a plu. Sinon j’ai repris mes vieilles lectures sur la Seconde Guerre mondiale qui n’ont rien à voir avec Phénix.

Côté cinéma, je suis un peu en retard, étant donné que je ne vais plus dans les salles obscures.

Les GSM ou téléphones mobiles, enfin surtout leurs séides, m’ont dissuadé de fréquenter ce genre d’endroit où l’on ne respecte pas les autres.

J’ai tout de même vu le remake d’Evil Dead.

Honnête, avec quelques incompréhensions.

Et des erreurs grosses comme mon bras.

Par exemple, un pistolet à clous ne fonctionne que si on appuie sur l’embout.

Ensuite, sur le plan large dans la salle de bains, où est la portion de lavabo employée pour fracasser le crâne de la jeune fille ?

En dernier, la junkie, l’héroïne du film, je n’ai pas tout compris comment elle passe d’un démon à une personne normale. Enfin, normale !

Elysium avec Matt Damon m’a bien plu. Heureuse surprise, car j’avais un peu peur d’une adaptation d’un jeu.

Un coup de gueule ?

Une chose me chagrine.

On nous hache les couilles avec l’écologie.

OK. D’accord.

Alors, faudra m’expliquer.

Les feux d’artifice, les défilés militaires et les jubilés ?

Cela coûte combien aux contribuables et à la planète ?

Juste un message aux cinq membres permanents de l’ONU.

1 % de votre budget militaire permettrait largement d’éradiquer la famine, le cancer, le sida et de nombreuses maladies orphelines.

Un vœu ?

Un qui est impossible, car je suis athée.

Mon désir pour 2014.

Écrire plus aussi bien des nouvelles, des articles et des news pour Phénix.

J’ai eu un trou noir. Il s’estompe, mais ne s’effacera jamais.

Une fois encore, un grand merci à Marc et Véronique qui sans avoir vécu ce que j’ai connu ont été patients envers moi.

Ce qui prouve que l’humanité n’est pas perdue.

Pour terminer.

L’homme a deux vies. Il commence la seconde quand il comprend qu’il en a qu’une.

Voilà.

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