Tout petit livre (95 pages, une novella), au format inhabituel car tout en longueur, nous avons un récit tendre et dur sur les relations entre un homme et son père, cet homme et son fils, un grand-père et un petit-fils.
Ludivine Vancker et ses collègues de la section de recherches de Paris enquêtent sur un tueur insaisissable dont les traces ne permettent pas l’identification. Lorsque les services secrets français décident de participer à la résolution de l’affaire, les mots « tueur en série » et « terrorisme » sont associés.
Retour dans le monde du thriller pour Maxime Chattam, après deux romans « blancs » qui n’ont pas manqué de provoquer des réactions diverses de la part de ses lecteurs.
Kilim est le nom d’une collection dont l’idée me plait beaucoup : redynamiser des récits d’autrefois un peu tombés dans l’oubli ou simplement ne faisant pas partie de notre héritage culturel ou de notre patrimoine oral de contes.
Voilà un livre qui prend le contre-pied des usages : les personnages sont des ados normaux et les héros sont traités dans l’introduction de chaque chapitre. Une construction un peu déroutante mais vive les choses qui sortent des ornières !
Donc nous avons une bande de jeunes qui doivent passer leur BAC. Des jeunes totalement banals mais dans une vie un peu futuriste : des zombies ont attaqué la ville, des non-vivants, des fantômes ont envahi le lycée etc.
1932. Pour l’empêcher de fréquenter l’homme qu’elle aime, le père de Marie décide de l’envoyer chez ses frères. Elle débarque à New York avec deux secrets dans ses bagages : son cœur brisé et la recette ancestrale d’un savoureux gâteau au fromage blanc.
2002. Rona, sa petite nièce en plein revers professionnel et sentimental, vient lui rendre visite. Marie lui raconte son histoire et lui confie à son tour la recette du cheese-cake...
Tout d’abord, merci aux éditions J’ai lu pour leur envoi.