Critiques

Roman initiatique, roman mystique, roman alchimique : « Le Magicien du 5ème Règne » nous entraîne sur les pas de Solem, jeune architecte parisien lancé dans une quête qui le mènera à la découverte de lui-même.

Londres, 1716. Jack Lafler, surnommé « La Fleur », est un jeune botaniste. Il rêve de parcourir le Nouveau Monde en quête des plus belles fleurs. Six mois plus tard, en guise de rêve, il est fait prisonnier par des pirates. Ces derniers s’apprêtent à l’exécuter, puis à l’enterrer sur une île déserte lorsqu’ils découvrent l’impensable : une tête sans corps qui parle. Les pirates s’enfuient abandonnant « La Fleur » à la créature.

Le jeune policier Stefan Lindman est sous le choc : il vient d’apprendre qu’il a un cancer de la langue et que son ancien collègue Herbert Molin, retiré dans les forêts de la Suède, a été torturé à mort. Pour tromper son angoisse, il part à l’ autre bout de ce froid pays, au début d’un hiver qui s’annonce rude, enquêter non officiellement sur le meurtre de Molin. Que signifient les traces sanglantes sur le parquet, comme si le tueur avait dansé un tango avec le corps de sa victime ? Les ombres d’un passé très noir se réveillent. Elles ont frappé, et vont frapper encore.

Attention ! Voici le comics le plus déjanté de l’année. Voyez plutot ! Desolation Jones, ancien agent du MI6, souffrant d’alcoolisme notoire et de delirium tremens, est vendu par ses patrons à un laboratoire de recherche qui teste des armes bacteriologiques et ce pendant un an. Un an après il est envoyé, comme tous les agents ayant subi des éxperiences, en résidence surveillée à Los Angeles. Au sein de cette communauté, il a le rôle de détéctive privé. Et là ! Accrochez-vous ! Il va enquêter sur le film porno qu’aurait tourné Hitler.

Il était une fois un univers féerique… Un monde où les bottes de sept lieues étaient moins rapides que d’étranges carrioles que l’on nomme voitures. Où les miroirs magiques avaient moins de puissance que de petites boîtes lumineuses appelées téléviseurs. Où l’homme, plutôt que de décrocher la lune, était gentiment parti gambader à sa surface. Ce monde, c’est le notre - et l’on a peut-être trop souvent tendance à le déclarer désenchanté. Ce n’est pas parce que nous nous sommes habitués à de tels miracles qu’ils ne relèvent plus pour autant du domaine du merveilleux.

Printemps 1916, à Calcutta. L’explorateur John Blunt est assassiné. Une jeune voleuse qui a assisté au crime mène l’enquête. Rapidement, elle découvre le mobile du meurtrier : récupérer l’épée de Kali dans le temple de Radnajpour afin de libérer un démon invincible !

Ah, l’Egypte ! Ses splendeurs indescriptibles. Son charme ineffable. Ses pyramides, son Sphinx, son Nil, sa Vallée des Rois. Et ses chercheurs de trésors plus ou moins loufoques ! C’est dans ce décors splendide, sur les pas d’un mystérieux égyptologue britannique traqué par un détective privé australien, que nous entraîne le roman d’Arthur Phillips.

  Lyon, an 2048, des spectres et autres créatures des enfers hantent la ville. Le L.C.S. (brigade de lutte contre le surnaturel), mené par Abby Lepark, intervient pour aider les citoyens contre les attaques répétées des loups-garous, vampires et autre démons. En parallèle, Kenro s’emploie, lui aussi, à combattre ces esprits. Ses méthodes plus traditionnelles et empruntes d’occultisme s’avèrent être plus efficaces et moins radicales que celles du L.C.S.. Ce mystérieux individu, attire la curiosité d’Abby. Mais qui est donc cet homme dont le dossier est classé top secret ?

Ce livre est extrêmement difficile à classer, il rentre dans ces franges extrêmes de la littérature qu’on a envie d’appeler science-fiction.

La mère de Guillaume est veuve depuis peu. Remariée au seigneur Brifaut, elle quitte sa demeure campagnarde pour la noblesse de la ville. Le jeune Guillaume, petit-fils du comte Gaston de Saunhac, n’aspire pas à cette vie de noble. Il préfère vivre comme son père disparu. Loin des complots, loin des tricheries et des mensonges de la cour. C’est pourquoi, il décide de rejoindre sa sœur. Celle-ci a fui dans la forêt, persuadée que leur père est toujours en vie, mais pas sous la forme humaine qu’on lui connaissait.