Soumis par Céline Saint-Charle le mar, 24/08/2021 - 06:00
Le Styx coule à l'envers est un recueil de 12 nouvelles de Dan Simmons, plutôt connu pour ses romans de science-fiction et d'horreur. Je garde le souvenir de Terreur, pavé arctique glaçant (sans mauvais jeu de mots) dont chaque page tient en alerte avec une mécanique terrifiante.
Soumis par Valérie Dufourd le ven, 21/05/2021 - 06:00
Entre vieilles légendes sioux, bas-fonds de Bangkok, futur dystopique et passé recomposé, Éros et Thanatos dansent ensemble pour mieux révéler les fêlures humaines. Quand l'horreur se pare de douceur, que le fantasme se fait fantastique et cruel, que la drogue du passé tue pour oublier le présent... Cinq nouvelles qui montrent toute la palette d'écriture de l'auteur d'Hyperion, de Terreur et de L'Échiquier du mal.
L’amour, La Mort…Mon premier waouuuuh wiiiiz de l’année 2021, ça se fête !
Soumis par Chris de Savoie le ven, 25/08/2017 - 06:00
Suite et fin de ce magistral récit fantastique.
Soumis par Chris de Savoie le mar, 22/08/2017 - 06:00
Incontournable classique, magistral récit fantastique.
Soumis par Sylvain Bonnet le mer, 24/12/2014 - 06:04
Les hauts et les bas de Dan Simmons
Soumis par Equipe Phenix le mar, 25/10/2011 - 16:40
J’ai dépassé la page 70, cela veut dire que je risque d’achever le livre ; mais j’ai de la peine. Alors même que Simmons insiste et répète à cor et à cri avoir profondément étudié l’histoire et la psychologie de Charles Dickens et de Wilkie Collins, j’ai l’impression de lire les aventures de deux personnages de roman-feuilleton parfaitement fictifs et sans rapport avec les auteurs de David Copperfield et de la Dame en blanc.
Soumis par Chris de Savoie le ven, 07/12/2007 - 19:00
La guerre de Troyes a bien lieu. Achille le Grec s’oppose à Hector le Troyen, et des combats fantastiques voient périr les héros mythiques tels qu’Homère l’a narré dans l’Iliade. Thomas Hockenberry, Américain du vingtième siècle, est présent sur les lieux afin de surveiller la régularité des affrontements en regard du récit homérien. Il suit les péripéties de la guerre afin d’en rendre compte aux dieux grecs de l’Olympe, qui jouent avec les hommes comme avec des pions.