Soumis par Michael Fenris le lun, 29/04/2024 - 06:00
J’ai toujours un faible pour ce que j’appelle les polars exotiques. N’y voyez aucune trace péjorative dans cette notion : il s’agit pour moi de distinguer les romans policiers se déroulant dans d’autres contrées, où l’auteur, en plus de dérouler son histoire, ajoute sa touche personnelle du pays. C’est le cas pour ne citer qu’un des plus connus avec Michael Connelly, mais aussi Jo Nesbo avec Harry Hole. Et Deon Meyer dont il est question ici, écrivain sud-africain d’une série d’ouvrages mettant en scène différents personnages de la police qui se croisent et se décroisent au fil des pages.
Soumis par Michael Fenris le ven, 03/11/2023 - 06:00
Même s’il est classé dans les nouveautés Folio parus en août 2023, Jusqu’au dernier, titre original Feniks, est le deuxième roman de l’auteur de polar sud-africain Deon Meyer, et son premier traduit en français en 2002. Le lecteur ne sera pas donc surpris, puisqu’il s’agit d’une nouvelle traduction, d’y retrouver un assez jeune sergent du nom de Bennie Griessel, policier qui deviendra par la suite le héros récurrent de 8 romans.
Soumis par Michael Fenris le mar, 24/01/2023 - 06:00
Le corps d’une Américaine demeurant à Londres, experte en peinture de l’âge d’or hollandais, est découvert abandonné à quelques kilomètres du Cap. Elle a été déshabillée et lavée à l’eau de javel afin de masquer les traces, un travail qui, à l’évidence, évoque la préméditation, et le professionnalisme. Surtout lorsque les deux policiers Griessel et Cupido, de la brigade des Hawks, apprennent qu’elle était à la recherche de toiles disparues et qu’elle avait contacté un professeur d’histoire et un détective privé au passé trouble…
Soumis par Michael Fenris le jeu, 16/12/2021 - 06:00
La réussite d’un roman, thriller, polar, ou autres, tient parfois à peu de choses : une intrigue bien ficelée, des personnages attachants sans être caricaturaux, les bons comme les mauvais, suffisamment de rebondissements pour tenir en haleine et une fin qui ne verse pas trop dans le happy end. A ce jeu là, quelqu’un comme Michael Connelly est passé maître.