Littérature

Dans l’Italie de la Renaissance, Ezio est un jeune homme de bonne famille, effronté et un peu voyou sur les bords. Il est appelé à prendre la suite de son père, banquier florentin réputé. Tout semble tracé pour lui jusqu’au jour où son père et ses frères sont arrêtés et exécutés, victimes de la trahison de ceux qui osaient se dire de leurs amis. Ezio découvre alors que son sang est celui des assassins et que le complot qui a décimé sa famille prend ses racines bien plus loin qu’il ne pouvait l’imaginer.

Brillant étudiant au célèbre collège d'Eton, Charlton Plinal a fondé une association, Freedom, qui dénonce les dérives du progrès scientifique. Mais le jour du Wall Game, jeu britannique, un géant blond lui fracasse le crâne d'un terrible coup de poing. Puis c'est au tour de sa fiancée, Gwendoline, d'être massacrée dans sa maison à la campagne. 

Quel plaisir de renouer à la fois avec un genre littéraire et avec un auteur ! Je m’explique : alors que j’étais encore jeune critique pour Phénix, ma première interview « à l’étranger » fut celle de Laurent Genefort, réalisée dans l’ambiance d’une brasserie parisienne, un jour de juillet. Laurent était alors une valeur montante de la SF française, alignant avec une régularité de passionné les romans ‘Fleuve Noir’ où se mêlaient actions, décors finement détaillés et personnages marquants… Le tout avec un sens consommé de l’originalité et du rythme.

Brett est harcelé par une bande de son lycée, en 1991. Évidemment, il est pas grand pour son âge et souffre d’asthme. La proie idéale. Un soir où il est poursuivi, il entre et se cache dans un vieil entrepôt abandonné où il va vivre « l’aventure de sa vie », dans toute l’ambiguïté de la formule. J’avais déjà bien aimé les « fedeylins » parus chez Gründ sous la plume de Nadia Coste. Ce livre pour jeunes ados est aussi une réussite car le final m’a surprise, même si je me doutais qu’il y aurait une astuce à voir le nombre de pages restantes se réduire.