Terre demeure (La)
Paru en 1949, c’est-à-dire bien après Ravage, de René Barjavel ou Quinzinzinzili de Régis Messac, que Stewart n’a probablement pas lus, ce récit de la renaissance d’une humanité presque anéantie (décimée est trop faible) par une épidémie (on peut s’interroger sur les caractéristiques nécessaires pour qu’une épidémie soit aussi meurtrière, une longue durée d’incubation seule pourrait expliquer son extension à toute l’humanité, mais ce n’est pas le sujet du livre) s’inspire certainement plus de Thoreau.