HANS Stéphanie

Diane est une ado dans un monde de rigueur totale. Une société quasi dictatoriale qui n’admet pas la personnalité, l’excentricité, l’originalité, la différence en somme. Mais Diane est un jour prise d’une crise de violence, au lycée. Crise d’autant plus inacceptable que la religion interdit ce genre de comportement et la condamne à quelques jours de réflexions sans contact aucun avec l’extérieur.

Silvia était une simple fille de la campagne qui s’occupait de ses frères après la mort de leur mère. Mais un soir, son père disparaît et quand elle rentre de ses recherches, ses frères sont emportés par une troupe à cheval et leur nom est hué par la foule des villageois. Elle s’encourt, rencontre Jaufré, un séduisant chevalier et part retrouver son destin dans le royaume de Maëlzegast. Car elle est la fille de la Reine, devenue folle, et la sœur jumelle de la maléfique Demoiselle Noire, Azalaïs.

À quinze ans, Cléone est capitaine du vaisseau Quetzal que lui ont laissé ses parents. Mais il lui faut encore passer un examen avant de pouvoir l’utiliser à sa guise pour ses prospections spatiales, elle n’a encore que le droit d’explorer qu’un secteur limité. Et elle risque de tout perdre à cause d’une météorite qui a déchiré sa voile solaire. Soudain, elle découvre que cette météorite est une capsule de survie, dans laquelle gît un beau jeune homme gravement blessé.

Pour son 4e roman, Les Clefs de Babel, Carina Rozenfeld s’attaque à un mythe biblique, la tour de Babel. Bien entendu, elle le remet au goût du jour et le rend très humain. Les hommes ont pollué la Terre : pour survivre ils ont du s’enfermer dans de hautes tours. Mille ans ont passé. Différentes communautés ont évolué durant ce laps de temps dans la tour et des frontières apparemment infranchissables se sont créées.