Maison des derviches (La)
J'ai découvert Ian McDonald il y a quelques années maintenant, avec Desolation Road, et je me souviens avoir été enthousiasmé par l'audace, l'inventivité et le ton plein d'humour de l'auteur, qui osait, osait et osait encore, que ce soit sur la forme (le style, génial, et une intrigue menée de façon plutôt originale) ou le fond (des idées à en revendre, un univers unique...). Je me souviens avoir été déçu, plus tard, à la lecture d’État de rêve, un recueil de nouvelles où se côtoyaient le bon et le moins bon – parfois enchanteur, parfois lénifiant.