GIEBEL Karine 03
Pouvez-vous nous parler de l'inspiration derrière votre dernier roman, Et chaque fois, mourir un peu ?
La genèse de ce roman, c’est l’envie de parler du stress post-traumatique, mais aussi la volonté de rendre hommage au travail formidable des humanitaires.
Pourquoi avez-vous choisi de centrer l'histoire autour de Grégory, un infirmier du CICR ?
J’aurai pu choisir une autre ONG, mais comme toujours, il fallait faire un choix et le CICR est présent depuis très longtemps sur toutes les zones de conflit.