John Rambo
La grande machine à recycler qui alimente la production hollywoodienne depuis les premiers balbutiements du cinématographe ne pouvait pas manquer de régurgiter, sous une forme ou une autre, les icônes de l’actionner eighties. Après Rocky Balboa, revenu d’entre les cordes, un John McClane sournoisement émasculé, mais drôle et avant un Indiana Jones qui semble être le seul à vouloir jouer à fond la carte de l’inévitable vieillissement, John Rambo nous revient dans une courte aventure aux allures de pamphlet paradoxal.