LABARRE Amandine

Mornelithe Fléaufaucon a disparu, captif de l’espace situé entre les Portails. Les Kaled’a’ins sont de retour et les k’Sheyna s’apprêtent à leur laisser la vallée et partir ’nettoyer’ un autre lieu. Elspeth, Ventnoir, Flammechant, Treyvan et Hidona s’apprêtent à emprunter un Portail pour rejoindre le clan de Flammechant. Sauf que surprise : ils se retrouvent dans un endroit inconnu de tous, la forêt des Chagrins. Ils rencontrent le dernier Héraut-Mage : notre cher et fabuleux Vanyel Ashkevron... Cela n’augure pas d’un quelconque repos.

Mornelithe Fléaufaucon a disparu, pour toujours espèrent-ils. Nyara, sa fille, la Modifiée, est partie avec Besoin à ses côtés. Les Tayledras se remettent peu à peu des combats et des dégâts que Mornelithe a fait parmi eux.

La trilogie des Vents - dont Les vents du destin est le premier volume - s’intéresse à Elspeth. A la femme qu’elle est devenue, aux aventures qu’elle a vécue. Elle commence après , on retrouve à nouveau des connexions entre Les Hérauts, les Shina’ins, et les Tayledras.

  Maître Brasey nous offre un livre idéal pour mettre sous le sapin : une nouvelle œuvre de savoir et d’illustrations consacrée aux fées. "Chaque fois qu’un enfant dit : ’je ne crois pas aux fées’,il y en a une, quelque part, qui tombe morte".James Matthew Barrie, Peter Pan Six livres ici rassemblés : le livre des origines, le livre historique, le livre poétique, le livre des prophétesses, le Nouveau Testament des fées et l’Apocalypse des fées.Rien que les intitulés déjà nous confirment qu’il s’agit d’un relevé scrupuleux et quasi exhaustif de la question.

Publié à l’origine à destination d’un public d’enfants, ce roman de Terry Pratchett possède toutes les qualités nécessaires au divertissement d’adultes désireux de se délecter d’une jolie fable exotique, en abordant incidemment une poignée de questions lourdes de sens. Tous les éléments sont en effet réunis dans ces pages pour transporter le lecteur, quelques heures durant, dans un univers parallèle au notre, trépidant à souhait. Dans un XIXème siècle qui n’aurait pas suivi exactement le même cours que celui que nous connaissons.

Les Hérauts-Mages sont de moins en moins nombreux. Alors Vanyel essaie d’être partout à la fois et assume plus que sa part de responsabilité. Mais de l’autre côté de la frontière, la magie gronde et ne s’annonce pas amicale.

Vanyel est devenu le Héraut-Mage le plus puissant de Valdemar à l’heure où les mages deviennent de plus en plus rares. Il assure à lui tout seul le travail de 5 Hérauts-Mages. Épuisé, il est envoyé en vacances dans sa famille, et sur le trajet, il croise la peur, le rejet sans savoir si cela est dû à son homosexualité ou à sa puissance. Il ressent d’autant plus la solitude, et la souffrance d’avoir perdu ’Lendel celui qui restera son seul amour.

Aren est étonnée ce matin là : mariée à un homme plus jeune qu’elle, elle voit se dérouler un avenir plus serein près de ses parents. Plus serein qu’elle ne l’aurait imaginé depuis la mort de son frère qui refusait de devenir un mage de sang ! Même si elle a une de ces petites visions qu’elle cache à tous de peur d’être rejetée, car la magie est haïe.

Vanyel est l’aîné de la famille Ashkevron, famille noble de Valdemar. Cependant il ne ressemble pas à son père : svelte, athlétique, intellectuel, passionné par la musique et les lectures. Il essaie cependant de plaire à son père tout en trouvant son propre style - entrainant une confrontation avec son maître d’arme qui se solde par un bras cassé pour Vanyel.

Nous sommes en présence de Kerowyn, la petite-fille de Kethry (voir Sœurs de Sang/Les Parjures). Orpheline de mère, l’adolescente s’occupe de toute l’intendance de la maison tout en rêvant de grandes chevauchées et d’aventures digne de sa grand-mère. Mais de Kethry, elle ne connait que peu de choses, son père refusant tout contact avec sa belle-mère si connue !