Critiques

Tour du Freux (La)

Peut-on classer en fantasy ce roman d’un monde ancien, habité par des « dieux » animistes plus ou moins grands, qui auraient succédé à d’Anciens Dieux dignes de mondes lovecraftiens ? Où les pouvoirs de ces dieux reposent sur l’énergie que leur fournissent prières et sacrifices et où les dits dieux doivent gérer leur dépense d’énergie et ne peuvent réaliser leur volonté que de la façon la moins coûteuse possible ?  

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Avant les diamants

Hollywood 1953, l’Amérique est en plein maccarthysme, la chasse aux sorcières bat son plein. Tout ce qui ressemble de près ou de loin à du communiste est pourchassé manu militari. Dans ce contexte, alors que les studios de cinéma sont entre les mains de quelques Moguls surpuissants, l’armée cherche à faire produire des films tout à sa gloire en s’affranchissant de ces magnats.

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Verity

Toute vérité n'est pas bonne à dire La vie a toujours souri à Verity Crawford.  Ses livres font d'elle une auteur star, sa maison du Vermont est splendide et elle forme avec Jeremy, son mari, un couple parfait. Mais un jour, sur une route, son rêve tourne au cauchemar. L'accident l'empêche d'écrire, transforme sa trop grande maison en prison, et menace de l'éloigner de Jeremy. La vie n'a jamais été tendre avec Lowen Ashleigh. 

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Dans les imaginaires du futur

Contrairement à ce qu’on peut penser à la lecture des premiers chapitres, il ne s’agit pas d’une étude universitaire sur le fonctionnement de la science-fiction, étude qui paraîtrait vouloir démontrer une thèse en choisissant les références qui vont dans le sens de cette thèse. Même si les premiers chapitres en donnent l’impression à un lecteur qui vient de lire une telle thèse orientée ailleurs (critique publiée dans une autre revue)...

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Déviation Nord

Déviation Nord est le dernier titre de Thierry Berlanda, le deuxième que je lis après L'orme aux loups, que je lui avais acheté, ainsi que L'insigne du boiteux, au salon Noir Vézère du Bugue de l'année dernière. J'avais beaucoup apprécié cette rencontre, que j'avais qualifiée comme étant "ma plus belle de ce salon", avec cet homme érudit et lettré mais tout à fait abordable et charmant et qui m'avait émue aux larmes par sa sensibilité et son empathie (à ma grande gêne, il doit se le rappeler).

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Signal d'alerte

Sous-titré « fictions courtes et dérangements », Signal d’alerte est un recueil de vingt-quatre nouvelles écrites par l’auteur britannique Neil Gaiman, et dont les distinctions tiennent à peine sur une page, entre les prix Hugo, Nebula et autres Locus. J’étais donc assez curieux de découvrir son univers. D’emblée, dans une (très) longue préface qui informe aussi des processus créatifs, l’auteur nous livre ses réflexions sur les histoires, la façon dont on les imagine, on les envisage ou on les vit. Une sorte de mise en garde sur ce qui attend le lecteur.

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Pains maison

Voyage culinaire en 42 recettes croustillantes. Le sous-titre de ce livre original est tout à fait véridique. Car il s'agit bien d'un voyage auquel l'autrice nous convie, un périple aussi bien géographique que temporel. Au travers de ces 42 recettes toutes plus appétissantes les unes que les autres, nous découvrons la Suisse au travers de ses pains (et quelques gâteaux).

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Mers mortes

Dans ce roman de fiction parascientifique (il est difficile de le classer autrement), après l’évaporation des mers, les rares survivants de l’humanité (qu’il y en ait quand presque toute l’eau du globe a disparu sans laisser de trace demande une forte suspension d’incrédulité) sont assiégés par les « marées », le retour de mers et d’animaux fantômes qui volent les âmes des humains. Quelques rares exorcistes, dont le héros, Oural, aidé par le fantôme d’un dauphin femelle, Treilla, peuvent les détruire et défendre les derniers bastions de l’humanité.

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Il était une fois ABBA

Parce que les contes de fées commencent par " Il était une fois... ", voici l'histoire du groupe suédois ABBA. Une formidable aventure musicale qui a uni deux couples, dans la vie et sur scène, et fait danser la planète entière avec des refrains intemporels qui, aujourd'hui encore, procurent beaucoup de bonheur.

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Farenheit 451

451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres, dont la détention est interdite. Le pompier Montag se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement poursuivi par une société qui désavoue son passé.  

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