Critiques

La couverture du premier roman m’avait attiré le regard, plutôt réussi, assez tape-à-l’œil, quelque part trop roman de gare pour que je m’y arrête. Puis j’ai lu quelques critiques (enfin une surtout) et j’ai décidé de les lire.   Dans un monde où le Tournant a permis aux races magiques de se montrer au grand jour, on suit les aventures de Rachel Morgan, sorcière de son état. Autour d’elle, humains, vampires vivants et morts, loups-garous ou encore pixies l’affrontent ou l’accompagnent !

Avec les compliments de l’auteur Secrets et mensonges Mortimer Folchart est un restaurateur de livres anciens qui possède le don de donner vie aux personnages des livres lorsqu’il les lit à voix haute mais, à chaque fois, qu’un d’entre eux sort d’une page et prend vie dans notre monde, une personne du réel disparaît, en contrepartie, à l’intérieur du roman.

Erik le Viking décide un jour de partir à la recherche du pays où le soleil se couche. Et jure de ne plus dormir dans son lit tant qu’il n’aura pas accompli cet exploit. Le héros, pressé, ne s’embarrasse pas de détail et part, droit devant lui. Il est accompagné de la fine fleur des marins et guerriers vikings, qui comprend notamment Ragnar Barbe-Fourchue, Sven le Fort ou Thorkhild.

*** Freddy*** Prenons deux soldats d’une planète quelconque. Laissons-les se perdre bien comme il faut dans notre système solaire. Ensuite, nous choisirons deux mercenaires, une tueuse à gages, l’officier de nos deux lascars et une bande d’humains tous aussi fous les uns que les autres. Mélangeons le tout dans un shaker approprié. Et voilà ! Il faut le dire, ce roman est complètement déjanté. Ça n’arrête pas une minute et j’ai cru un instant que les frères Zucker avaient écrit ce livre pour leur futur scénario : « Y a-t-il un pilote dans la soucoupe ? ».

Dragonlance est l’un de ces univers typiques de "Donjons et Dragons", un monde de Fantasy empruntant tous les archétypes tels que les elfes, les nains, les paladins ou les voleurs. Mais le résultat n’est pas si stéréotypé. Les dieux semblent avoir abandonné cet univers où les légendes concernant les dragons sont vivaces. Les dragons se réveillent et menacent les hommes de destructions, des constellations disparaissent, annonçant peut-être le retour des dieux.

Caer Dallben est en émoi : le Prince Gwydion part en quête du Chaudron Noir. Ce chaudron maléfique sert à fabriquer des soldats du mal. Il est officiellement aux mains du roi Arawn. Taran, l’aide-porcher, Fflewddur, le barde menteur, la princesse Eylonwy et Gurgi, l’homme des bois, décident de participer à l’expédition. Face à des princes très supérieurs, aux trahisons, aux aides, aux amitiés, la troupe chemine vers les marais de Morva où le chaudron est aux mains de 3 sorcières.

La ville de Cintra a été sauvagement attaquée par l’empire de Nilfgaard. Au milieu des maisons en feu et des habitants massacrés, Ciri, héritière de la reine assassinée, parvient à s’enfuir. La petite fille erre quelques semaines avant d’être recueillie par Geralt de Riv, un chasseur de monstres. Celui-ci décide de cacher l’enfant et de la préparer à son avenir. Ciri débute alors un difficile apprentissage, fait d’entraînements à l’épée et de coups douloureux.

Malgré les années, la paix n’est pas encore revenue à l’école de Magie de la Tour. Fenris est partie, comme Conrad, Morderek, Salamandre et Navin. Saevin et Iris sont les plus jeunes élèves et Kai est toujours un dragon. Mais un jour fatidique approche, celui où la frontière entre le monde des vivants et des morts sera si mince, si fragile que d’un sortilège, tout sera possible : l’immortalité pour certains comme le retour des âmes mauvaises et des âmes bonnes parmi les vivants.

Sur la planète Trahison, sont exilées différentes nations issues des traitres de la république. Lanik Mueller fait partie de l’une de ces nations, celles où la plus grande crainte de ces hommes est de devenir régénérant radical. Ils sont capables de régénérer un membre coupé mais certains ne peuvent empêcher que des membres surnuméraires poussent et repoussent encore.

Au nom de tous les miens La vie, l’amour, la mort