DAMASIO Alain

Furtifs (Les)

Ce roman est, d’une certaine façon, une synthèse des deux œuvres anciennes, La horde du Contrevent et La zone du dehors. À La horde…, il reprend, d’abord, le réenchantement du monde, mais aussi l’écriture chorale, alternant les récits des différents personnages, d’abord de ceux qui forment la Meute, les chasseurs de furtifs. À La zone…, il reprend le caractère dystopique, la description d’une anticipation cauchemardesque à plus ou moins court terme. Nonobstant quelques grumeaux, le mélange prend.  

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Furtifs (Les)

« Les furtifs ?… Il doit y en avoir un sur votre écran en ce moment même… Impossible ? Vous n’avez pas remarqué ce scintillement fugitif ? ». Magique, superbe, une réussite totale pour l’auteur... et l’éditeur !

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Dehors de toute chose (Le)

Il s’agit en fait du texte d’un monologue joué par Benjamin Mayet à partir d’extraits du texte de la Zone du Dehors, d’Alain Damasio. Et l’effet de la lecture n’est pas du tout le même suivant qu’on a, ou non, vu la représentation, d’une part, et suivant qu’on a, ou non, lu d’abord le roman. Les idées exprimées, et réorganisées, dans le monologue, puis réexpliquées dans la postface d’Alain Damasio, sur la défense de la pensée individuelle – ce qui est autre chose que l’individualisme –, peuvent donner lieu à de longues discussions que cette recension ne saurait présenter de façon neutre.

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Aucun souvenir assez solide

L’auteur du superbe Horde du Contrevent revient avec un recueil de dix nouvelles. L’une des figures principales du recueil est la ville, qui sert de cadre à plusieurs nouvelles. Alain Damasio propose des villes désertées, vidées, ensevelies sous une mer de goudron ou sous la coupe d’une informatique omnipotente. Rares sont les habitants et leur vie a basculé dans l’irrationnel. Les héros mis en scène sont toujours des survivants, bien souvent des résistants, qui luttent contre la marchandisation du langage ou contre la main mise sur la communication.

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Zone du dehors (La)

Nous sommes 2084. Suite à divers conflits nucléaires/bactériologiques (« la radioactivité, c’est la seule éternité créée par l’homme »), la Terre – à l’exception notable du continent africain – n’est plus qu’un vaste champ de ruines, impropre à la vie. Les régimes politiques du passé ayant ainsi fait la preuve de leur dangerosité, une fraction de l’espèce humaine part s’installer dans l’espace pour y fonder des colonies « sociales-démocrates », havres de paix jalousés de tous, situées aux confins du système solaire.

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Horde du Contrevent (La)

Ce livre est extrêmement difficile à classer, il rentre dans ces franges extrêmes de la littérature qu’on a envie d’appeler science-fiction.

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