Soumis par Chris de Savoie le mer, 19/06/2024 - 06:00
L’humanité voyage dans l’espace à la recherche d’un minerai indispensable à sa survie. Mais l’exploitation de la relkatite provoque la mort des planètes alors qu’un ennemi impitoyable se terre. Une excellente aventure spatiale.
Soumis par Chris de Savoie le ven, 12/10/2018 - 06:00
Les Bob parviendront-il à sauver l’humanité de sa propre stupidité et de la violence destructrice des Autres ?
Soumis par Chris de Savoie le ven, 03/08/2018 - 06:00
Quand l’espoir de l’humanité réside dans une IA inaboutie, souvent moqueuse et imprévisible. Un bon récit de SF !
Soumis par Véronique De Laet le jeu, 25/09/2014 - 07:24
Le résumé de quatrième de couverture me semble complet et reste mystérieux, alors je copie : « Francis Urquhart est au fait de tous les secrets des partis politiques – et il est bien décidé à s’en servir pour devenir Premier Ministre.
Mattie Storin, elle, est une jeune journaliste d’investigation aux dents longues, qui relève le défi le plus excitant de sa vie en découvrant un scandale financier impliquant les plus hautes sphères. Pour révéler la vérité, elle aussi est prête à tout…
Un monde secret de vénalité, de corruption et d’insatiable ambition dans les coulisses du pouvoir. »
Soumis par Freddy F. Lewis le sam, 03/10/2009 - 21:55
Quel mot puis-je utiliser qui serait plus fort que « dévorer » quand on parle d’un roman ?
Car tel a été mon comportement envers ce roman. Je l’ai littéralement dévoré.
Un détective privé.
Oh ! Pas de ceux que vous croyez. Par un Sherlock Holmes, ni un Hercule Poirot. Encore moins un Magnum ou un Mike Hammer.
Non, celui dont je vous parle serait parfait pour jouer dans « Notre-Dame de Paris ».
C’est vrai, il serait parfait en Quasimodo.
Il est né bossu, a perdu un œil et boite. Ce qui ne l’empêche pas d’être un excellent détective qui a sa propre agence.
Soumis par Franck Boulègue le mer, 05/11/2008 - 19:57
« Les Rats », le premier roman du célèbre écrivain britannique James Herbert, originellement paru en 1973, demeure peut-être encore à ce jour son oeuvre la plus mémorable. Non pas tant d’ailleurs pour ses qualités strictement littéraires (pas de fioritures, un récit qui va droit à l’essentiel, qui ne dévie guère) que pour sa description d’un fléau apocalyptique, surgi des tréfonds londoniens, qui s’abat sur la ville avec une virulence qui n’a d’égale que le peu d’intérêt que lui portent de prime abord les membres de la classe dirigeante.