Soumis par Georges Bormand le mer, 06/04/2022 - 06:00
Est-il encore besoin de présenter l’un des romans les plus fous de Jack Vance à ceux qui ne le connaissent pas encore ?
Soumis par Georges Bormand le lun, 03/01/2022 - 06:00
Ce volume qui conclut l’édition des Nouvelles de Jack Vance s’ouvre avec une très longue nouvelle, qui a souvent justifié un volume à elle seule, et pour moi le premier texte lu de Vance, dans Galaxie : Les maîtres des dragons, qui montre comment, attaqués plusieurs fois par les aliens d’un système voisin, les Basiques, les humains d’une certaine planète, ont développé à partir de leurs captifs diverses sortes de « Dragons » de combat, tout comme leurs ennemis ont créé des « Hommes » de combat...
Soumis par Georges Bormand le lun, 25/10/2021 - 06:00
Parues entre 1955 et 1961, les nouvelles de ce volume, dont la plus connue est Le papillon de lune, continuent à présenter, dans des situation variées, parfois canularesques ou caricaturales, et avec un humour souvent du premier degré, hélas, ou une invraisemblance assumée, des histoires de héros américain ordinaire, voire inférieur, confronté à des situations difficiles, voire urgentes.
Soumis par Georges Bormand le mar, 07/09/2021 - 06:00
Ce second volume contient une double novella, La station Abercrombie suivie de Chalwell et ses poules, qui raconte les aventures d’une enfant adoptée, Jean, lancée dans la quête d’une place dans la société...
Il y a aussi le grand classique Les maisons d’Iszm, où un botaniste qui n’aurait vraiment pas dû y aller va se trouver mêlé à une affaire d’espionnage industriel.
Et, comme ailleurs dans l’œuvre de Jack Vance, des héros a priori sans pouvoir vont jouer au plus malin avec des escrocs ou des pouvoirs installés, et gagner...
Soumis par Georges Bormand le lun, 19/07/2021 - 06:00
Inutile de présenter Jack Vance. Remercions donc le Bélial pour cette édition presque intégrale de ses nouvelles de science-fiction (il manquera celles qui font partie de cycles comme La Terre mourante) qui va, dans la version poche chez J’ai Lu, prendre quatre volumes épais.
Soumis par Bruno Peeters le mar, 04/09/2018 - 06:00
Sous ce titre racoleur, Le Livre de Poche publie les mémoires de l’immortel auteur de Tschaï, de Lyonesse (1916-2013) et de tant d’autres chefs-d’œuvre de science-fiction, ou plutôt de son sous-genre, le planet opera, qu’il a si bien illustré.
Soumis par Marc Van Buggenhout le jeu, 11/08/2016 - 06:00
Le Belial inaugure une nouvelle collection de livres consacrés aux pulps de science-fiction. Le premier roman Les vandales du vide est écrit par Jack Vance, et traduit par Pierre-Paul Durastanti. Pour ajouter une note vintage à celui-ci, la couverture est dessinée par Caza, un illustrateur habitué depuis des décennies à mettre en valeur des scènes des romans de Jack Vance et d’autres auteurs. On ne pouvait pas mieux rêver.
Soumis par Bruno Peeters le mar, 11/06/2013 - 20:31
Et Ruth se demandait
Immobile, ouvrant l’œil à moitié sous ses voiles,
Quel dieu, quel moissonneur de l’éternel été,
Avait, en s’en allant, négligemment jeté
Cette faucille d’or dans le champ des étoiles.
Victor Hugo Jack Vance était un vieux conteur, un très vieux conteur. On le savait aveugle, dictant ses derniers récits. Il était une icône de la SF, de la fantasy, de la science-fantasy, difficile à classer mais admiré de tous.
Soumis par Marc Van Buggenhout le ven, 08/03/2013 - 08:29
ActuSF a récemment réédité un des romans de Jack Vance, Les cinq rubans d’or. Ce n’est pas le premier texte que cet éditeur de l’Imaginaire nous propose. A chaque fois, on a droit à des romans courts ou des nouvelles qui n’ont pas pris une ride malgré le laps de temps écoulé depuis la première publication. Avec Les cinq rubans d’or, on retrouve une histoire épique et picaresque comme sait le faire Jack Vance. Avec un personnage qui a un lien de parenté certain avec Cugel dans le cycle Terre mourante ou Adam Reith dans le cycle Tschaï.
Soumis par Marc Van Buggenhout le dim, 13/03/2011 - 18:43
Voici la deuxième partie de « Terre mourante » de Jack Vance, dans lequel on retrouve Cugel et Rhialto le merveilleux. Pygmalion n’a pas laissé passer beaucoup de temps entre les deux tomes. Ce deuxième tome est beaucoup plus épais et on a toujours droit à une couverture dessinée par Marc Simonetti.
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