Soumis par Freddy F. Lewis le jeu, 22/02/2007 - 19:16
(roulement de tambour sourd et lointain)
Oyé oyé brave gens. Vous qui avez suivi avec intérêt la saga de la machine de Richard Beissière. Ou encore, vous qui avez collectionné les rubriques à brac et les albums de Gai-Luron de notre fidèle Marcel Gotlieb.
Alors vous, vous êtes les bienvenus dans l’univers de Pierre Pelot.
Les autres, vous pouvez venir aussi. Ce n’est pas un problème. Plus on est de fous … Mais je vous aurais prévenus, attendez-vous à de l’humour décalé.
Soumis par Equipe Phenix le mer, 21/02/2007 - 20:48
Bienvenue dans la psyché d’un dessinateur qui, par une nuit d’été, a une furieuse envie de compagnie. Du coup, il traîne, il boit et il fume. Il fait la tournée des bars et dans une danse endiablée, il croise une fille à l’appétit aiguisé. Elle l’entraîne pour un brin de causette, au bord de la plage. Il se jette sur elle et l’embrasse ardemment.
Soumis par Equipe Phenix le mer, 21/02/2007 - 12:30
Tucson, Arizona. En plein désert, se dresse un cimetière pour avions militaires. L’endroit est paisible. Peter y bosse en tant que mécano et y vit à l’année, avec sa femme et ses trois enfants. Ce matin là, Barry et Lucie, deux vieux amis, décollent pour un vol de routine. L’appareil prend son envol sur la piste, puis explose en plein ciel. Un missile vient de le percuter. C’est la panique ! Une nuée d’hélicoptères surgit de nulle part et débarque des dizaines de militaires qui investissent les lieux. Peter est abattu, sans sommation, puis vient le tour de Sam.
Soumis par Christophe Corthouts le mar, 20/02/2007 - 21:28
Ardu est sans aucun doute le premier terme qui vient à l’esprit après la lecture du ce nouveau roman de Howard Hendrix. Navigant entre le hard SF et le thriller de type « complot mondial pour déstabiliser la planète entière », ce roman voudrait s’offrir un rythme à la Da Vinci Code… Mais chassez le naturel et il revient au galop. Un tord ? Pas si sûr…
Soumis par Josèphe Ghenzer le mar, 20/02/2007 - 21:01
Soumis par Equipe Phenix le lun, 19/02/2007 - 12:29
Dans la vaste machine à créer, le dessinateur n’est qu’un ouvrier parmi des milliers. Il bosse des heures et des heures. Dans sa tête, toutes sortes de bébêtes se promènent. Des mouches à pattes d’éléphants, des lapins géants, des arbres pieuvres. Et qu’est-ce qui ressort de tout ça ? Un dessin de rhinocéros. Seulement, le « grand manitou » ne peut se contenter d’un vulgaire bestiaire pour sa nouvelle bande dessinée. Il lui faut de l’originalité, du renouveau, des collines qui marchent, des gardiens pour troupeaux de collines, des brigades arboricoles pour traquer les collines égarées !
Soumis par Patrick S. Vast le dim, 18/02/2007 - 20:18
Claude Bolduc, s’il est utile de le rappeler, est un auteur québécois qui a rassemblé dans ce recueil 7 textes, 7 nouvelles fantastiques qui avaient fait préalablement leurs preuves, puisqu’elles ont été publiées dans un premier temps dans des revues, dont le mythique Solaris, ou ont reçu des prix. Donc, c’est du premier choix qu’il nous offre là, dans une trame que l’on peut qualifier de « nocturne », ou du moins vespérale si l’on se réfère au titre du recueil.
Soumis par Equipe Phenix le sam, 17/02/2007 - 12:29
Dans les temps médiévaux, la vie n’est guère aisée pour les petites gens. Le lion se prélasse sur son trône, pendant que les loups savourent des mets opulents et que le reste de la basse cour survit, comme se peut. Renart doit donc ruser pour nourrir sa famille. Il profite de la bêtise humaine et se joue surtout de son oncle Ysengrin, un loup ignare à qui il aime chaparder quelques jambons.
Si la fable est gentille et le recueil bien réadapté, cette version du « roman de Renart » ne déroge pas à la règle médiévale de la bonne pensée. J’aurais aimé plus de fantaisie.
Soumis par Véronique De Laet le ven, 16/02/2007 - 23:31
Mankell est né en 1948 et vit entre la Suède et le Mozambique. Il est reconnu comme le pilier du roman policier suédois avec la série sur l’inspecteur Wallender. Il a reçu de nombreux prix dont le Grand Prix de Littérature Policière de l’Académie suédoise.
Disons le tout de suite, le côté fantastique est assez limité : un homme se prend pour l’envoyé de Dieu.
Et son cas relève plus de la manipulation mentale et de la psychiatrie que de la sorcellerie.
Soumis par Equipe Phenix le jeu, 15/02/2007 - 12:29
Un type glande sur une caisse en bois. Il crache. Le temps passe. La rue est silencieuse. Puis une femme surgit et lui propose du fric contre un boulot de porteur. Il n’a rien d’autre à faire. Il accepte. Elle l’embarque dans tous les magasins du quartier. A la nuit tombante, des sacs par-dessus la tête, il grimpe chez elle. L’appartement est luxueux. Deux autres beautés accostent le type et lui demandent son nom. « Dada ». Va pour Dada ! Elles l’entraînent dans un mélange de fête et de sado-masochisme. L’alcool coule à flot. Les coups aussi. Trois inconnus débarquent.
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