Soumis par Georges Bormand le jeu, 16/06/2022 - 06:00
Presque 40 ans que j’attendais la parution en France d’une traduction de ce roman que signalait, déjà, Jacques Sadoul dans son Histoire de la Science-Fiction et que connaissaient et appréciaient autant que les amateurs américains qui, après la parution en 1918, en ont eu plusieurs rééditions, en particulier celle de 1952 qui a révélé aux amateurs le vrai nom de l’autrice, Gertrude Barrows Bennett, disparue en 1948, alors qu’ils croyaient que Francis Stevens était un pseudonyme d’Abraham Merritt.
Soumis par Georges Bormand le jeu, 31/10/2019 - 06:00
Francis Stevens, de son vrai nom Gertrude Barrows, est un des oublis les plus criants de l’édition française, puisqu’elle a été qualifiée de meilleur écrivain féminin de fantasy (au sens anglais qui inclut fantastique, fantasy et science-fiction) entre Mary Shelley et Catherine Lucile Moore. Elle a d’ailleurs, dans sa courte carrière qui s’étend de 1917 à 1923, brillé dans les trois branches, mais particulièrement le fantastique. Elle aurait été reconnue par Lovecraft, dont d’ailleurs le présent roman présage certaines œuvres.
Soumis par Georges Bormand le jeu, 05/09/2019 - 06:00
Francis Stevens, de son vrai nom Gertrude Barrows, est un des oublis les plus criants de l’édition française, puisqu’elle a été qualifiée de meilleur écrivain féminin de fantasy (au sens anglais qui inclut fantastique, fantasy et science-fiction) entre Mary Shelley et Catherine Lucile Moore. Elle a d’ailleurs, dans sa courte carrière qui s’étend de 1917 à 1923, brillé dans les trois branches, mais particulièrement le fantastique. Elle aurait été reconnue par Lovecraft, dont d’ailleurs le présent roman présage certaines œuvres.