ROSIER Valérie

Cornes

Ignatius Martin Perrish passa la nuit ivre, à faire des choses terribles. Il se réveilla le lendemain matin avec la migraine, porta les mains à ses tempes et sentit quelque chose d’inhabituel, deux protubérances pointues, au relief irrégulier. Lorsqu’un matin des cornes lui ont poussé sur la tête, Ig croit d’abord à une hallucination, un tour que lui joue son esprit rongé par la colère et le chagrin. Car depuis un an, depuis que sa petite amie a été violée et tuée dans de mystérieuses circonstances, il vit un enfer.

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Costume du mort (Le)

Je vous l’accorde tout de go, "Le Costume du Mort" ce n’est certes pas le titre le plus sexy pour un premier roman. C’est disons... plat. Comme l’encéphalogramme du susnommé mort, me souffle ma mauvaise conscience humoristique, qui semble avoir pris des cours de vannes, du côté de Bel RTL, entre 16 h et 18 h. (Soit, dans Les Grosses Têtes, grand prince, je donne la soluce de ma propre énigme pour les fatigués du bulbe, les ralentis du cortex et autres personnes à intelligence réduite). Et je m’éloigne, comme de "costume" (whoooa, là je suis trop fort...) de mon sujet.

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