Soumis par Michael Fenris le jeu, 01/12/2022 - 06:00
Lovecraft chez Bragelonne, c’est la quintessence de l’édition, en témoignent une nouvelle fois ces carnets en couverture rigide d’un bleu-vert pâle assez élégant et magnifiquement illustrés une nouvelle fois par Armel Gaulme. Avec l’éditeur, on ne lit pas la nouvelle, on la lit et on la regarde, deux fois, parce qu’il est nécessaire de s’arrêter sur chacune des illustrations, une par page et parfois sur une double page, et de mesurer à quel point Armel Gaulme a réussi à transcrire l’innommable, l’indescriptible chez Lovecraft.
Soumis par Michael Fenris le lun, 31/08/2020 - 06:00
Avec L’horreur à Dunwich, court roman paru en 1929, Howard Phillips Lovecraft déploie tout son savoir-faire et tout son bestiaire d’horreur comme il sait si bien le faire : un village perdu de la Nouvelle Angleterre si chère à l’auteur, peuplé de personnes au degré de consanguinité forcément élevé, certaines branches ne présentant plus que des monstres difformes et accablés de tares plus lourdes les unes que les autres. C’est dans ce contexte que vit Wilbur Whateley dont la mère est albinos et le grand-père versé dans la sorcellerie.
Soumis par Marc Van Buggenhout le ven, 12/02/2010 - 19:31
Voici le premier tome de la trilogie de L’elfe noir de R.A. Salvatore. Mais doit-on encore parler de trilogie alors que le cycle fait dix tomes en version originale, qui ne sont pas encore tous traduits. Salvatore nous présente une société matriarcale, les drows, des elfes à la peau noire qui vivent sous terre dans la cité de Menzoberranzan. La société drow est formée de plusieurs maisons qui rivalisent entre elles, qui se font la guerre pour monter dans la hiérarchie sociale. Seules les huit premières maisons forment le conseil de la cité.
Soumis par mmopi le ven, 30/01/2009 - 12:49
Les éditions Milady frappent fort avec la trilogie des Drizzt est un elfe noir (ou drow), mais il se sent différent des autres elfes noirs de Menzoberranzan et pas seulement à cause de ses yeux lavande. Il déteste les trahisons, ressent de l’affection pour certaines personnes et n’a aucune envie d’adorer Lloth, la déesse-araignée mauvaise et infâme qui a forgé le peuple drow à son image. Drizzt Do’Urden est un personnage attachant, l’inverse même de l’archétype de son peuple.