Trésor des Incas, Téméraire T7 (Le)
Résumé officiel :
Le capitaine Will Laurence et son dragon de combat Téméraire reprennent du service contre les attaques des forces napoléoniennes, mais aussi contre les soldats et les politiciens britanniques qui les suspectent toujours de déloyauté – si ce n’est de pure et simple trahison.
Pour Laurence et Téméraire, qui ont été mis à l’écart en Australie, la participation à la guerre semble compromise, juste au moment ou l’on aurait le plus besoin d’eux ! En effet, nouvellement alliés au puissant empire africain du Tswana, les Français ont occupé l’Espagne et semé la révolution et la dévastation au Brésil, mettant en péril le dernier espoir des Britanniques de vaincre Napoléon.
C’est alors que le gouvernement britannique envoie un émissaire recruter Laurence et Téméraire afin de négocier avec les furieux Tswana. Ils embarquent pour le Brésil, où ils vont être confrontés à une succession de terribles catastrophes. Les dragons et leurs amis sont contraints à un atterrissage inopiné sur le territoire hostile de l’Empire inca, où les attendent de nouveaux dangers...
Déjà le volume 7 ! Bon après ma déception du tome 6, je retrouve un peu Téméraire, mais il a trop grandi ! Il se retient de toute forme d’impertinence et même a quelques tendances à chercher les honneurs, surtout en faces de potentats étrangers. Iskierka, la dragonne lanceuse de feu, prend un peu la relève mais avec prétention et le petit nouveau de 30 tonnes, Kulingile, est obsédé par la nourriture.
On retrouve rapidement un « acteur » improbable : Napoléon himself ! Disons qu’il est un second rôle et qu’au final, on se demande comment un homme aussi essentiel aux guerres européennes a pu prendre les mois nécessaires pour venir le long de la côte du Pacifique demander sa main à l’impératrice des Incas….
J’espère que le volume suivant, qui se passera en Chine, retrouvera l’élan porteur des 4 premiers volumes… je reste encore sur ma faim, là, me manque un lama rôti aux herbes sauvages…
Le trésor des Incas, Téméraire T7, par Naomi Novik, traduit par Guillaume Fournier, illustré par Didier Graffet, Le Pré aux Clercs