DHAYER Léo

Kallocaïne

Paru en 1940, ce roman d’une écrivaine suédoise est devenu l’un des classiques écrits en cette période sur le développement du totalitarisme, tant en Allemagne qu’en URSS. Dans une société de surveillance généralisée, qui se prétend « Etat Mondial » alors même qu’il est en guerre avec les pays voisins, le narrateur invente une drogue qui force les gens à révéler tous leurs désirs, un super-sérum de vérité (que toutes les polices du monde, même dans les pays démocratiques, n’ont jamais cessé de désirer).

Type: 

Silence

Ce livre n’est apparemment que le début d’une histoire, annoncée comme un diptyque, qui laisse ouvertes les principales questions posées. J’attendrai donc la suite pour avoir, éventuellement, confirmation de l’impression que j’ai eue très rapidement à sa lecture, qu’il s’agit de pseudo-fantasy, comme chez Julia Verlanger, Barbara Hambly ou Célia S Friedman, sur Ténébreuse ou sur Pern : une colonie humaine ayant abandonné tout ou partie de la technologie et développé une magie, l’emploi de capacités « psi » et une société de type médiéval.  

Type: 
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