BÉRENVAL Olivier

Ianos, singularité nue

Voici un roman dont j'attendais beaucoup, et je suis d'autant plus déçu que les idées intéressantes, mais exploitées avec les défauts presque archétypaux d'un premier roman insuffisamment édité, fourmillent. Je me souviens de Damon Knight qualifiant les Armureries d'Isher, de AEVV, de « gâchis cosmique » ; ce roman m'y a fait penser, d'autant plus que les « Autres », les intelligences supérieures qui regardaient en retrait chez Van Vogt, sont ici partie prenante de l'histoire.

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