Soumis par Bruno Peeters le lun, 01/09/2008 - 16:25
Avec un nom pareil, né en 1774 et mort en 1847, on ne peut être qu’aristocrate et émigré durant la Révolution. Un rien opportuniste dans la parenthèse napoléonienne, Bellin de La Liborlière mourut âgé « dans la foi et la religion catholique ». Exilé en Allemagne, il publie successivement un grand roman gothique, Célestine ou les Epoux sans l’être en 1798 puis, l’année suivante sa parodie, La Nuit anglaise.