Critiques

Recherche Kôtaro désespérément Mon nom est personne Shôan est un moine qui est parti en Chine pour y poursuivre son apprentissage. C’est là qu’il rencontre Kôtaro, un jeune orphelin méfiant. Compatissant à son triste sort, il décide de le ramener avec lui au Japon et de l’héberger dans son temple. Plus tard lorsqu’un terrible incendie ravage l’endroit, un rônin sans nom, qui passait par hasard dans les environs, sauve la vie de Kôtaro et de son chien Tobimaru. Kôtaro engage alors le rônin sans nom comme garde du corps en échange d’une pierre précieuse que Shôan lui a donné.

Tout commence lors d’un tremblement de terre qui secoue sans prévenir la campagne britannique. Une faille gigantesque se creuse dans le sol et la voiture que conduit John Holman, employé par le ministère de l’Environnement pour enquêter sur les agissements douteux du ministère de la Défense, plonge dedans. Holman parvient in extremis à s’extirper de ce mauvais pas, au moment où une brume jaunâtre ressemblant au fameux « fog » anglais s’extrait peu à peu des profondeurs…

Dans un futur proche, les plus riches se connecteront au web et vivront une vie parallèle. Mais pas n’importe quelle vie. Le corps dans lequel ils passeront quelques heures est celui d’un hôte humain. Les pauvres servent de cobayes pour ces expériences d’un nouveau genre. Pour se faire, un simple implant suffit. Sauf que le jour où vous êtes l’hôte, nul ne peut dire si vous survivrez.

A la lecture de la quatrième de couverture, on devine qu’il s’agit d’un livre de hard science qui va nous plonger au-delà des limites de notre système solaire, à la découverte d’un artéfact. Oui… oui… c’est le genre de sujet qu’on a déjà eu l’occasion de lire à travers des romans comme « Rendez-vous avec Rama » de Arthur C. Clarke ou « Eon » et « Eternité » de Greg Bear. Serait-ce une version revisitée d’un de ces romans ? Pas vraiment.

Nuit de folie Le retour de la momie

Nous retrouvons nos enfants aux étranges pouvoirs, en Argentine, alors qu’ils viennent de découvrir une trace des Templiers, d’affronter des monstres et de se résoudre à ne pas trouver la clé de l’énigme. C’est alors que Goodfellow, auteur de ces textes parlant de l’alunissage d’Apollo et de ses mystères, réapparaît dans leur vie et qu’en réfléchissant avec Arthur, le groupe se décide à partir aux Philippines où le vieux monsieur a vu aussi le signe cabalistique des Templiers.

Second recueil de nouvelles d’une auteure d’autant plus précieuse que rare. Déjà Le Miroir aux éperluettes, paru aux mêmes éditions en 2007, avait frappé et subjugué les amateurs de science-fiction subtile, poétique, les amateurs aussi d’un style délicat plus accolé à la fantasy qu’à la SF. Et qui surprit.

Miracle à l’italienne De l’ombre à la lumière

Alan est un parvenu qui a profité des recherches de son père pour s’enrichir. Depuis, il parcourt l’espace à la recherche de plaisirs et de sensations pour se retrouver un jour sur Muldson. L’accueil des habitants l’intrigue, et le jeune homme part en exploration afin de découvrir la raison de son malaise. Après plusieurs tentatives, il trouve une réponse inattendue qui va transformer sa vie.

Il existe à la lisière de notre monde un univers où le peuple des fées vit et nous observe. Cette frontière est fluctuante, ce qui occasionne de nombreuses rencontres. C’est autour de cette limite qu’Elisabeth Ebory situe ses nouvelles, à l’orée des deux mondes. Comme le peuple fée est loin d’être bienveillant et insouciant, mais est au contraire dur et violent, il entraîne bien souvent les humains à leur perte.