Succubus Dream

Georgina est toujours aussi amoureuse de Seth, l’auteur qu’elle a rencontré à sa librairie et avec lequel, elle ne peut avoir de relations intimes trop appuyées. Georgina est un succube et si elle ne tue pas Seth directement, elle lui volerait son âme, petit à petit.

Ils ont trouvé une forme d’équilibre et Georgina va voler à d’autres cette énergie qui lui est vitale.

Mais petit à petit, elle se rend compte qu’après chaque recharge, elle fait de drôles de rêves qui la laissent quasi sans force. Elle demande à Erik, un spécialiste du paranormal de l’aider. Erik l’envoie à Dante, personnage trouble et détestable autant qu’intriguant.

Entre temps, Niphon, le démon qui a acheté son âme, lui cherche des crosses et lui file Tawny, un succube en formation, un succube particulièrement maladroit, emmerdeur et pleurnichard.

Bon, j’aime toujours autant et dans ce volume 3 (il y en a 5 en anglais), on trouve plus de fantastique que dans le précédent qui, sur ce point, me semblait faible.

Vous en parler plus serait trop rapidement donner la clé du mystère aussi… chuuut.

Oubliez aussi les trop belles fins, les happy end mielleux… Les choses rentrent dans l’ordre et c’est peut-être mieux pour tous. Les anges, déchus ou non, ont une place accrue par rapport aux démons et vampires et on apprend quelques détails sur la cosmographie démonique.

Bon, c’est du plaisir à fond, et toujours une absence de vulgarité même dans les détails les plus crus des scènes de sexe.

Succubus dream par Richelle Mead, traduit par Benoît DOMIS et illusrté par Jean-Sébastien ROSSBACH, Bragelonne