Soumis par Monique Bernier le sam, 07/10/2017 - 06:00
J’ai l’impression qu’on entendra encore parler de Simon Johannin. Il a écrit un livre incroyable et c’est un premier roman. Et il n’a que 26 ans.
Il nous plonge avec tendresse dans la noirceur, la violence d’une vie de paysans éleveurs qui prennent tout en charge : de la naissance à l’abattage et au dépeçage des bêtes avant la vente.
Cela se passe à La Fourrière, c’est-à-dire nulle part, au bout du monde
Il y a trois maisons, la mienne, celle de Jonas et sa famille et celle de la grosse conne qui a tué mon chat
L’animal est au centre. L’animal, on l’aime, même si on le tue.