Val de la morte embrassée (Le)

Jeune pigiste, Jubella, est convoquée par un richissime magnat de la presse, un véritable ermite isolé dans son manoir.

Intriguée, elle se rend dans ce lieu retiré, qui a perdu tous ses fastes aussi mais pas son mystère et surtout où trône ce tableau incroyable de Turner, non répertorié dans les catalogues exhaustifs de l’œuvre du peintre anglais : le val de la morte embrassée.

Jubella apprend de Lord Denholm qu’il serait le dernier prince charmant, celui qui réveille la belle de la mort en l’embrassant.

Mais au cours de la nuit, le manoir est cambriolé et lord Denholm assassiné. Jubella doit trouver ce qui menace sa vie à elle, maintenant qu’elle « sait ».
C’est quelque part plus un thriller policier si ce n’est cette affaire de baiser qui donne la vien et son côté fantastique. Mais on suit Jubella avec plaisir, dans ses cherches avec Even Clark pour retrouver le tableau disparu. Tableau dont peu de monde connait l’existence.

Plus « fille » probablement à cause de ce foutu prince charmant que tant de femmes attendent en vain – sourire, j’ai un seul regret : j’aurai aimé avoir une illustration de ce tableau comme couverture !

Le val de la morte embrassée par Michel Honaker, illustré par Stéphanie Hans, Flammarion