Des images et des bulles

Octo-Nebulo est une petite planète perchée au fin fond de l’espace. Elle est peuplée de petits êtres en forme de gâteaux apéros et sa civilisation possède une technologie digne de Star Wars. Un jour, le jeune Karah, ferrailleur de son état, découvre une mystérieuse plaque dans l’épave d’un astronef. Dessus, il y a d’étranges dessins : deux humains et un code. Karah en parle au professeur Shmock, un éminent astrophysicien qui analyse l’objet. Ce dernier en a la certitude. Il s’agit là d’une forme de vie extra-nebulienne, ainsi que de coordonnées spatiales menant à leur planète.

Jeune et timide journaliste le jour, Ariane se transforme en intrépide cambrioleuse la nuit. Sur sa route, elle rencontre l’Homme Mystère. Un cambrioleur d’une autre époque, mi-homme, mi-bête, il est à la fois victime et instrument de ces satanés passéistes. Ariane leur préfère les progressistes, ces bourgeois intellectuels qui parlent de demain, de l’avenir, de comment le monde se reconstruira de manière plus juste. Pourtant, elle ne peut s’empêcher de penser à l’Homme Mystère. Il est si mystérieux, si attirant.

De passage dans les montagnes, Thomas Landon et sa femme stoppent net leur voiture afin de ne pas écraser un sdf, étendu au beau milieu de la route. Ils le soignent – Agnès Landon est médecin – , l’hébergent dans leur chalet, mais au petit matin, l’homme a déjà disparu.

Un grave danger menace la Kodama. La Kodama est un monde de forêts où sans arbre, nul ne peut vivre. En effet, sans arbre, pas de maison, pas de pont, pas de combustible pour le chauffage. Et malheureusement, le bois se fait rare. Un mal invisible semble s’être attaqué aux forêts et, lentement, il ronge le moral des lutins de Kodama. Afin d’enrayer cette tendance, sa Majestée Lutinellage convoque le vieux sage Corbéus. Ce dernier invoque à son tour les esprits élémentaires pour lui donner un nom, le nom de celui qui partira combattre le mal invisible. Kywal.