Prédateur, Animorphs T5 (Le)
Au 5e tome, je ne résume plus, personne ne peut commencer si loin et les fans sont déjà acquis !
Petite surprise, en découvrant le nouvel ami andalite du groupe, j’ai compris que j’avais sauté le tome précédent mais après quelques questionnements, j’ai rattrapé le sens général.
Ici c’est Marco, le héros et sa métamorphose en gorille. Et la force du récit tient aussi dans les descriptions des sensations quand les jeunes gens prennent une « animorph ».
C’est frais, plein d’idées, j’aime beaucoup cette série de K.A. Applegate… jusqu’à ce que, curieuse, j’aille voir combien de tomes existaient et avec 47 volumes en anglais, j’ai bien peur que ce côté fraîcheur ne fane !
Le prédateur, Animorphs T5, par K. A. Applegate, traduit par Noël Chassérieau, illustré par Craig White, Gallimard Jeunesse