Soumis par Bruno Peeters le mer, 14/03/2012 - 13:56
Le festival des Utopiales poursuit ses anthos annuelles avec bonheur. En effet, ce dernier crû appartient aux meilleurs, du moins pour l’essentiel. Sept nouvelles, des auteurs connus, et de belles joies de lecture.
A commencer par le très jouissif Le Radeau du Titanic de James Morrow, décidément habitué des dérives maritimes (rappelons-nous le fameux En remorquant Jehovah). Où les rescapés du naufrage de 1912 fondent une république…
Soumis par Marc Bailly le mer, 07/03/2012 - 14:56
Les robots sont parmi nous. Ils sont dans nos ordis, dans nos voitures, dans nos usines, dans notre quotidien. Ils sont déjà plus nombreux que nous sur notre bonne vieille planète. Mais sont-ils vraiment nos amis ?
Cette anthologie dirigée par Corinne Guitteaud va essayer de répondre à cette épineuse question : les robots sont-ils nos amis ?
Je retiendrai particulièrement quatre nouvelles.
Soumis par Véronique De Laet le lun, 27/02/2012 - 13:51
Il s’agit d’une anthologie de 5 nouvelles. Les auteures sont de grandes pointures de la bit-lit :
• Richelle Mead : Un soleil interdit
• Alyson Noël : Bring me to life
• Kristin Cast : Les autres
• Kellet Armstrong : Traquée
• Francesca Lia Block : Lilith
Soumis par Marc Van Buggenhout le ven, 17/02/2012 - 14:39
Après les enfants de Masterton, voilà que Marc Bailly nous propose les mondes de Masterton. Nouvelle anthologie qui rend hommage à l’auteur anglais de fantastique. Cette fois-ci, ce ne sont pas les vainqueurs du prix Masterton qui présentent les nouvelles, mais une kyrielle d’écrivains qui aiment l’auteur et les univers qu’il a créés. Il y a une certaine logique dans cette démarche entreprise par Marc Bailly et Rivière Blanche. Les deux livres consacrés à Masterton sont un pendant du prix du même nom. De plus, ils ont été faits avec la bénédiction de l’auteur. Que peut-on rêver de mieux ?
Soumis par Chris de Savoie le dim, 12/02/2012 - 14:02
L’Univers a longtemps fait rêver mais la fièvre de la découverte spatiale s’est peu à peu éteinte, pas chez tout le monde, heureusement.
Deux écrivains reconnus, Jeanne-A Debats et Jean-Claude Dunyach, ont pris la direction de ce recueil pour proposer huit nouvelles axées sur le grand espace, les voyages intersidéraux et les rencontres du troisième type.
Soumis par Marc Van Buggenhout le ven, 02/12/2011 - 16:16
L’anthologie présentée par Marc Bailly chez Rivière Blanche reprend neuf nouvelles fantastiques qui ont remporté le prix Masterton. Le prix a été créé en 2000 par Marc Bailly et est décerné chaque année par un jury de professionnels francophones de la littérature. Le prix est attribué à trois catégories distinctes : un roman francophone, un roman étranger traduit en français et une nouvelle.
Soumis par Bruno Peeters le jeu, 24/11/2011 - 16:39
Jacques Finné, grand spécialiste de l’époque victorienne (et edwardienne) avait livré une passionnante anthologie de nouvelles fantastiques écrites par des femmes dans Les Fantômes des Victoriennes, parue chez le même éditeur en 2000.
Soumis par Equipe Phenix le dim, 23/10/2011 - 16:32
Soumis par Bruno Peeters le mar, 16/08/2011 - 16:46
Passée la très belle illustration de couverture de Simon Goinard Phelipot, le lecteur pénètre dans un recueil abondant (14 nouvelles), touffu sans doute mais passionnant. Petit liminaire : la lecture n’est pas conseillée aux dépressifs, le thème n’étant pas vraiment divertissant. En effet, les nouvelles sont dures, parfois gore et parfois même insoutenables. Je préfère avertir.
Soumis par Bruno Peeters le sam, 19/12/2009 - 19:14
Avant de parcourir ce recueil superbe, deux remarques d’emblée. Il n’y a pas de nom d’anthologiste, donc personne ne sait qui a rassemblé ces dix-huit textes autour d’un seul thème. A lire la liste des auteurs, l’on s’aperçoit qu’ils sont tous Français et, sans doute pour la plupart, jeunes. J’avoue que bon nombre m’étaient même inconnus. Il est donc d’autant plus grave que nulle introduction ou préface ne les annonce. Ce n’est pas comme cela que l’on promeut de nouveaux talents. Une simple petite présentation en dix lignes eut suffi pour situer chacun.
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