En route pour 2018 avec Véronique De Laet, critique Phénix
2017 a été une année très riche, très animée et plutôt belle.
J’ai fini mes études universitaires, solutionné un problème de santé et retrouvé du travail.
Que demander de plus, si ce n’est cette petite chose impayable qu’est le temps ?
En films, je n’ai pas eu autant de temps pour aller au cinéma. Je choisis mes films selon le réalisateur et j’ai adoré le Nolan Dunkerque ou le Mel Gibson Tu ne tueras point.
Expos et conférences, j’ai surtout rencontré des auteurs lusophones.
Musique, avec un nouvel album pour Kyo, Indochine et Etienne Daho. La découverte d’une voix norvégienne, qui passe souvent sur la radio Antipode : Ane Brun.
En lecture, le monde de Haut-Royaume de Pierre Pevel, la poésie des Belgiques de Luc Baba et Alain Dartevelle, Lovestar de Magnason, Nous de Zamiatine… J’ai bien ri avec Les Wang contre le monde entier de Chang, souri avec Elle était une fois de Frédérique Hébrard, tremblé avec Du feu de l’enfer de Sire Cédric…
Pour le monde, il n’est ni pire ni meilleur qu’autrefois. Mais je préfère m’écarter des nouvelles et rester dans le positif, plus regarder les émissions de pâtisserie que politiques. D’ailleurs j’ai deux galettes des rois à faire.
Profitez des gens que vous aimez, riez et soignez l’ambiance avec vos collègues, pensez aux petites attentions personnelles plus qu’aux gros cadeaux bien voyants. Le bonheur, c’est une succession de petites choses, comme un fleuve n’est que milliards de gouttes d’eau.
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