Bösendorfer et Cie

Une bande de pirates intergalactiques s’attaque à des vaisseaux. Le dernier en date est attaqué par ce commando de pillards avec une telle violence que tout vole en éclats.

Les pirates n’ont plus le choix.

Ils s’écrasent sur une planète pas totalement déserte, mais presque.

Alors, seule la survie de ce groupe compte.

Narration parfaite. Cela me fait réellement aimer la SF, genre dans lequel trop se prennent au sérieux avec des théories pompeuses et des voyages espace-temps que seuls les spécialistes de la science quantique comprennent.

Quand je lis des livres comme Bosendorfer, je suis ravi. Surpris, mais de la meilleure façon.

Ici, la robotique, les armes, tout est ultramoderne. De la haute technologie. Ensuite, les belligérants, les robots sont un peu même très déjantés.

Cela n’en fait pas une parodie, loin de là. Seulement, les acteurs de ces aventures sidérales ont des réparties qui au départ m’ont surpris. Après, elles me faisaient rire et pour terminer, je devinais quand elles arriveraient.

Évidemment, le mouton en slip plane sur ces nouvelles. J’ai tellement aimé que je l’ai lu à une vitesse pas possible.

Une semaine plus tard, devinez quoi ?Et bien, mes chers amis, je l’ai relu comme si je ne l’avais jamais lu. Ma réaction fut identique. Scotché par l’histoire, je m’envoyais sur un courant tantôt rapide tantôt calme. Mon canoë de pensées suivait le courant sans pouvoir intervenir.

C’est ce genre de livres qu’il faudrait afin de faire aimer la SF.

Pour une somme modique, ça serait dommage de ne pas se faire plaisir. N’est-ce pas ?

Bösenforfer et Cie par Yuki Suzuki, 10 épisodes à 0,99 euros l'épisode, Editions Nutty Sheep