Blackwood
Quand on a 16 ans, que votre mère, veuve, se remarie et vous abandonne dans une pension pour jeunes filles riches, ce n’est déjà pas génial.
Mais si en plus, si l’ambiance est particulière, s’il n’y a que 4 étudiantes, tout devient vite noir et mystérieux.
Ce livre d’adresses aux jeunes ados et son auteure, Lois Duncan, semble bien connue dans les pays anglophones à lire, à l’arrière, des commentaires de l’auteure de Twilight ou de celle de Chair de poule.
Peut-être que c’est plus impressionnant sur cette tranche d’âge car je n’ai pas spécialement été touchée par l’histoire qui se laisse lire mais sans ce sentiment de peur et de cauchemar annoncé.
La faute à une psychologie des personnages assez rudimentaire ? A un livre assez court où le mystère ne s’étoffe pas – dès le départ, dès les premières remarques, on sait que c’est un endroit avec de mauvaises ondes, ça sape l’effet surprise ?
Bref, moyennement convaincue, je reste.
Blackwood par Lois Duncan, traduit par Luc Rigoureau, illustré par Clayton Bastiani, collection Blackmoon, Hachette.
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