Soumis par Franck Boulègue le lun, 12/05/2008 - 12:37
En rédigeant « Le Voleur d’Eternité » (1994), Clive Barker – représentant le plus illustre du mouvement « splatterpunk », aux visions sombres et torturées, n’hésitant pas à chanter les louanges des plaisirs sado-masochistes et des mutations corporelles les plus extraordinaires - avait déjà fait la preuve de son aptitude à imaginer des histoires destinées au jeune public. Cette première incursion dans le genre ne déméritait aucunement vis-à-vis des ouvrages du même acabit issus de la production littéraire visant la jeunesse contemporaine.