Littérature

Titretrier par ordre décroissant Date uid de l'auteur
Solaris n° 206

Pas de thème particulier pour ce numéro de printemps 2018. Pascale Raud, rédactrice en chef, décrit son numéro comme « peu ensoleillé, et même exceptionnellement sombre. Dommage ? Je ne le crois pas : la science-fiction n'est-elle donc pas faite pour inquiéter et pour questionner ? ».  

SOLARIS
12/09/2018 4
Solaris n°159 et n°160

Deux belles livraisons de la célèbre revue canadienne, qui en arrive donc à son 160ème numéro ! Le n° 159 s’ouvre sur le Prix Solaris 2006, Le vol de l’abeille de Michèle Laframboise, brillante variation sur le thème de la ruche humaine. Les nouvelles qui suivent sont toutes de grande qualité, de la laconique Ceci n’est pas une crise cardiaque de Frederick Durand, au très nostalgique du blues A la croisée d’Eric Holstein ou au fascinant Le Regard du Trilobite de Mario Tessier, hard thriller paléontologique.

08/12/2006 4
Solaris n°161

Dès l’introduction, Joël Champetier, rédacteur en chef, annonce la couleur : ce numéro de la revue contient une novella de 70 pages, ce qui réduit bien sûr la place pour la publication d’autres textes. Elle est de Marie-Josée L’Hérault, et fait plus ou moins suite à Volvox, parue dans le n°144. « Vision d’un futur à la fois décalé, drolatique et terrifiant », elle décrit un monde très bizarre, dans lequel les maison ont des dates de péremption et que des abatteurs de murs viennent détruire.

SOLARIS
08/03/2007 4
Solaris n°168

Ne vous laissez pas effrayer par la couverture très gore de Steve Bolduc, assez impressionnante. Voici un numéro de la belle revue canadienne assez exceptionnel quant à la qualité des nouvelles publiées. Allez directement vers Sa vie au bout du pinceau de Philippe-Aubert Côté : un peintre apprend qu’il a la maladie d’Alzheimer. Sa réaction est un chef-d’oeuvre du fantastique. Et cela en quatre pages seulement ! Le même Côté tente, dans Le premier de sa lignée, une esquisse de polar de SF animale plutôt réussi, avec ses détectives ’néomorphes’.

SOLARIS
29/01/2009 4
Solaris n°170 et n°171

170 Entrez de plein pied dans l’Imaginaire proclame fièrement la couverture, joliment illustrée par Steve Bolduc. Les deux nouvelles initiales sont en effet bien troussées. Le Boucher de Nicolas Weinberg, un peu gore, est vraiment fantastique, ce qui est rare par les temps qui courent. Et Hoenzolam d’André Dumaine a beaucoup d’atmosphère.

SOLARIS
04/09/2009 4
Solaris n°172

Un numéro qui démarre en fanfare, par deux nouvelles exceptionnelles.

SOLARIS
27/01/2010 4
Solaris n°173

Connaissez-vous le « round robin » ? Jeu littéraire bien connu des vieux fans. Un peu sur le modèle des surréalistes et leur célèbre ’cadavres exquis’, un auteur enclenche une histoire qui est poursuivie par plusieurs autres, à l’aveugle. C’est évidemment très gai à rédiger. D’ailleurs, l’équipe de Phénix s’était jadis livré joyeusement à cet exercice : c’était dans notre numéro anniversaire de 1999, le n° 50. Ca ne nous rajeunit pas.

SOLARIS
27/05/2010 4
Solaris n°174

Après le 173 plutôt hors normes (voir ma critique toute récente), voici un Solaris ’normal’ et de la plus belle eau, qui plus est, dès la superbe couverture de Gégory Fromenteau. Le rédacteur en chef, Joël Champetier, a décider de le consacrer à la SF... française. Car les débuts de la SFFQ n’ont-ils pas été dominés par des personnalités françaises immigrées telles Norbert Spehner, Elisabeth Vonarburg ou Jean-Marc Gouanvic ?

SOLARIS
21/08/2010 4
Solaris n°176

Philippe-Aubert Côté est “un des auteurs les plus intéressants de la relève de la science-fiction” nous dit Joël Champetier dans son éditorial. Effectivement, nous l’avions déjà remarqué dans le n°168 avec deux textes, l’un purement fantastique, Sa Vie au bout des pinceaux, et un second, Le Premier de sa lignée, authentiquement SF lui, sorte de polar se déroulant dans un monde peuplé d’hommes-animaux.

SOLARIS
22/04/2011 4
Solaris n°177

Si le précédent numéro de la revue canadienne était essentiellement tourné vers la SF, celui-ci est délibérément fantastique. Les nouvelles sont au nombre de neuf et, partant, plus brèves. Malheureusement, aucune n’atteint la densité des trois retenues dans le n° 176. Certaines penchent vers le gore, tel le conte de Noël initial de Frédéric Durand ou Question d’équilibre de Claude Bolduc, d’autres mêlent poésie et onirisme comme Ombres jumelles d’Ariane Gélinas ou La Plage de Sylvain Johnson.

SOLARIS
05/05/2011 4

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